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#51 Le 04-08-2012 à 19h21

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Salut!

Elle est peut-être connue mais cette version de la D.B je la connaît pas:

En France, la dame blanche apparaîtrait comme auto-stoppeuse dans la forêt de Compiègne car les rumeurs disent que le mari de la dame blanche serait mort dans un de ces virages. On raconte également qu'on l'aperçoit au niveau de l'abribus du C.H.U. de Caen car une jeune femme serait morte sur le trajet de la D17. La jeune femme resterait discrète et commencerait à s'apeurer à l'approche du virage. Enfin, elle crierait « Attention au virage ! » et disparaîtrait une fois celui-ci passé. Une autre version de la légende de la dame blanche serait un fantôme qui errerait dans les châteaux. En France, par exemple dans le château de Trécesson dans le Morbihan, le fantôme de la dame blanche apparaîtrait de temps à autre. Il proviendrait d'une femme enterrée vivante dans les combles du château. Dans le château de Pouancé en Maine et Loire, des histoires sordides de dame blanche circulent également. Une première version serait que le fantôme de la dame blanche serait celui d'une femme morte à cause d'une crise de jalousie de son mari qu'il l'aurait d'abord attablée avec de beaux couverts en argent, puis il la fit attacher à cette même table et enfin il l'emmura vivante !

Le plus étrange dans cette histoire, c'est que quelques années après la révolution française, on découvrit une pièce secrète dans le château de Pouancé où l'on retrouva justement le cadavre d'une femme attablée avec une pièce d'or dans la bouche. Des couverts en argent reposaient sur cette table. L'autre version qui est dite à propos de la dame blanche du château de Pouancé est qu'elle serait le fantôme de Marie Delorme. Cette jeune femme aurait été prise d'amour pour un chevalier breton, ennemi du château de Pouancé à l'époque.

Par amour, Marie Delorme aurait ouvert les portes de la ville aux Bretons pour qu'ils puissent l'assiéger. Condamnée pour trahison, la légende raconte qu'elle fut emmurée. Néanmoins, l'Histoire dit qu'elle fut pendue. D'autre part, certaines personnes voient apparaître la dame blanche juste avant un événement marquant comme un décès ou une naissance. Il faut savoir que les légendes de dame blanche ne se limitent pas à la France, loin de là. Depuis plusieurs siècles, des histoires similaires se racontent dans d'autres pays comme en Italie, en Allemagne et au Canada. En Allemagne, la dame blanche hanterait le château de Setin. Elle serait le fantôme d'une jeune fille qui passa au bûcher pour sorcellerie. Au Canada, non loin de la ville de Québec, la dame blanche apparaîtrait au niveau des chutes de Montmorency.

L'histoire raconte que deux jeunes amoureux, Mathilde et Louis, furent séparés durant la guerre contre les Anglais. Louis fut envoyé au combat mais il ne revint pas parmi les soldats. Mathilde partit alors à sa recherche et retrouva son corps inanimé près des chutes de Montmorency. Accablée par la peine, elle décida d'enfiler sa robe de mariée et de mettre fin à sa vie en sautant des chutes. Les habitants de là-bas disent que son fantôme apparaîtrait encore certains soirs...

Dernière modification par lilouchien11 (Le 04-08-2012 à 19h24)

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#52 Le 04-08-2012 à 19h28

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Salut!

Ecoutez ceci je l'ai vecu alors je vous demande de me croir je jure!

En était en vacances en Normandie et ont entendait des cris d'enfants,de femmes,et de bébés au sous sol;Alors ont frappait a la porte mais il n'y avait personne.Plusieurs fois ça tocait mais rien.Alors avec le lit mes parents ont bloquées la porte et ma chienne était devant la porte pour attaquer si besoin.Et puis le lendemain mon père a été au sous-sol et l il a vu un homme au visage noir avec une tronssoneuse a la main pleine de sang.Depuis plus jamais ont est retouner dans cet appartement!

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#53 Le 04-08-2012 à 20h10

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Ma mère ne la pas crue!!

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#54 Le 04-08-2012 à 20h27

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Je réecris comme je peux vos histoires et je mets certains noms car c'est sous ces différents noms que je les connais.

Mais s'il faut changer quoi que ce soit, dites le moi.

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#55 Le 04-08-2012 à 22h02

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Coucou !

Allez ! , une autre :

LA MAISON

En 1974 (le 13 novembre exactement), un jeune homme de 24 ans, Ronald DeFeo, assassine de sang froid à 3h15 du matin, les 6 membres de sa famille pendant leur sommeil.
Ainsi commence l'histoire d'Amityville, la Maison du Diable.

Amityville est une petite ville des USA, à Long Island dans l'état de New York, d'apparence plutôt tranquille, jusqu'à cette nuit de novembre 1974, où au 112 Océan Avenue, DeFeo assassine toute sa famille à l'aide d'un fusil de calibre 35.
Durant l'audience préliminaire qui eu lieu le 22 septembre 1975, Ronald DeFeo déclara "n'avoir pas pu contrôler une pulsion commandée par une entité" qu'il appela le Diable, lui même. Il plaida la folie et fut condamné à six peines consécutives d'emprisonnement de vingt-cinq ans à la prison spéciale de Danemorra U.S.A.

La maison fut alors mise en vente et un couple, Georges et Kathleen Lutz, ainsi que leurs trois enfants, y emménagèrent peu de temps plus tard.
Ayant été informé de la tragédie, la famille fit appel à un exorciste, le père Mancuso. Mais à peine celui-ci eut-il franchit la porte d'entrée qu'il entendit une voix masculine et parfaitement claire lui intimer l'ordre de partir. Comprenant que cette entité était beaucoup trop forte pour que quiconque puisse la chasser, il quitta la maison en laissant les Lutz à leur propre sort.

Commença alors pour la famille un séjour de cauchemard.

Dès les deux premières nuits, ils entendirent des sons étranges, mais le plus troublant est l'heure à laquelle ils les ont entendu, 3h15 précise, heure du massacre de la famille DeFeo.
Mais le cauchemard ne fait que commencer. Suite à ces deux nuits de terreur, Georges vérifia que toutes les portes et fenêtres soient solidement fermées. Il fit même installer une barre de fer pour consolider la porte d'entrée.
Hélas, dans la nuit, les bruits reprirent de plus belle, toujours plus étranges et angoissants. Lutz se leva et fut surpris de voir la porte d'entrée grande ouverte, et plus horrible, celle-ci avait été crocheté de l'intérieur. Quant à la barre de fer, elle gisait complètement tordue à côté de la porte.

Cependant, malgré toutes ces péripéties, les Lutz décidèrent de tenir bon et de rester. C'est alors que quelques temps plus tard, toujours en pleine nuit, en se réveillant, Lutz eu l'effroyable surprise de voir sa femme en train de léviter au dessus du lit avec un visage crispé d'horreur, dont elle ne se séparera que 6 heures plus tard.

Après cette lévitation, tout s'arrèta brutalement. Il n'y eu plus ni bruits, ni phénomènes paranormaux. Mais ce n'est pas terminé... en effet, quelques jours plus tard, alors que Kathleen était à la fenêtre, elle aperçu deux yeux rouge sang qui la fixaient.
La maison se déchaîna alors de plus belle, bruits et cris de plus en plus fort, boue verte qui dégoulinait des murs et du plafond, serrure pleine d'une étrange substance noirâtre. Prise de panique, la famille s'enfuit.

Les Lutz n'auront habité la maison que 28 jours avant de la fuir effrayé par tant de phénomènes paranormaux.
De nos jours, la maison est habitée par de nouveaux occupants qui ne cessent de répéter que depuis leur installation rien d'étrange ne s'est produit.

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#56 Le 05-08-2012 à 02h50

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♥  ♥  ♥ Hellow :3

Mon histoire d'horreur? La grand-mère et son chien:

la vieille dame et son chien

Une très vieille dame restant seule dans une grande maison écarter de la ville, attend son garçon qui doit lui rendre visite et qui n'est toujours pas arrivé. Elle est assise dans une chaise berçante, elle lit un livre toute en flattant son chien. Après quelque instant, elle entend un bruit venant de la cuisine, c'est le robinet de la cuisine qui coule, goutte par goutte. Elle se lève, puis va le fermer. Elle revient ensuite, s'installe a nouveau, reprend son livre, et recommence à flatter son chien. Soudain, le bruit recommence, mais cette fois-ci il ne provient pas de la cuisine, mais de la salle de bain du premier étage. Elle se relève donc, se rend jusqu'à la salle de bain, puis ferme le robinet qui coulait à un rythme plus rapide que la première fois. Encore une fois, elle retourne s'asseoir puis continue à lire son livre toute en flattant son chien. Mais quelques instants plus tard, elle entend le bruit de l'eau qui coule à un rythme endiablé. Elle passe donc devant la cuisine, rien le robinet ne coule pas, les toilettes du premier étage, toujours rien, elle monte donc au second étage, puis se rend à la salle de bain, le robinet coule, elle le ferme donc, mais constate que le bruit persiste et il qu'il est tout proche. Elle remarque que le rideau de douche est tiré! Elle s'approche, et tire d'un coup sec le rideau! À sa grande surprise, elle aperçoit son chien mort dans le bain! La question persiste toujours: Qu'est-ce qu'elle pouvais bien flatter ?!?

Ce n'est pas une très effrayante histoire d'horreur. Disons que la dernière phrase est drôle - si on a tout lu. /library/php/forum/views/smilies/tongue.png
  ♥  ♥  ♥ 

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#57 Le 05-08-2012 à 08h56

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Salut!

Ilove60 Je te jure que c'est vrai et même j'avais 13mois quand ça c'est passer et il y avait ma cousine de 5 ans!

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#58 Le 05-08-2012 à 10h56

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spécialement toute vos histoire ne font pas peur moi ma maison est en realiter et vraiment hanter une bouteille d huile en plein  hiver qui explose dans le placard sans prévenir moi pour sa j ai flipper et ya:mimi02: beaucoup de chose encore mais bon je vais pas raconter ma vie a +/static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

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#59 Le 05-08-2012 à 12h11

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Coucou !! ^^

J'en rajoute une autre ! ^o^

LE COUTEAU

C'est un couple qui rentre un soir tard de chez des invités. Ils rentrent chez eux, avec aux moins 150 bornes de trajet. Ils traversent une immense foret quand tout a coup ils aperçoivent une voiture arrêtée au bord de la route. En temps normal, ils ne se seraient certainement pas arrêté, mais la, une petite fille pleure a coté. Ils s'arrêtent donc et demandent ce qui se passe a la fille. Elle montre la voiture en pleurant: les parents constatent avec effrois que deux personnes sont égorgées a l'intérieur. Ils en concluent que ses parents on été assassinés et qu'il n'est vraiment pas prudent de rester ici. Ils prennent la petite fille dans leur voiture et filent au poste le plus proche ...30 km... Le mari roule a tout allure. Tout a coup, il tourne la tête, et aperçoit sa femme, les yeux dans le vide, la bouche ouverte et la gorge tranchée...il regarde dans le rétroviseur et voit la petite fille léchant un couteau plein de sang...

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#60 Le 05-08-2012 à 12h54

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emiliesoccer105 a écrit :

♥  ♥  ♥ Hellow :3

Mon histoire d'horreur? La grand-mère et son chien:

la vieille dame et son chien

Une très vieille dame restant seule dans une grande maison écarter de la ville, attend son garçon qui doit lui rendre visite et qui n'est toujours pas arrivé. Elle est assise dans une chaise berçante, elle lit un livre toute en flattant son chien. Après quelque instant, elle entend un bruit venant de la cuisine, c'est le robinet de la cuisine qui coule, goutte par goutte. Elle se lève, puis va le fermer. Elle revient ensuite, s'installe a nouveau, reprend son livre, et recommence à flatter son chien. Soudain, le bruit recommence, mais cette fois-ci il ne provient pas de la cuisine, mais de la salle de bain du premier étage. Elle se relève donc, se rend jusqu'à la salle de bain, puis ferme le robinet qui coulait à un rythme plus rapide que la première fois. Encore une fois, elle retourne s'asseoir puis continue à lire son livre toute en flattant son chien. Mais quelques instants plus tard, elle entend le bruit de l'eau qui coule à un rythme endiablé. Elle passe donc devant la cuisine, rien le robinet ne coule pas, les toilettes du premier étage, toujours rien, elle monte donc au second étage, puis se rend à la salle de bain, le robinet coule, elle le ferme donc, mais constate que le bruit persiste et il qu'il est tout proche. Elle remarque que le rideau de douche est tiré! Elle s'approche, et tire d'un coup sec le rideau! À sa grande surprise, elle aperçoit son chien mort dans le bain! La question persiste toujours: Qu'est-ce qu'elle pouvais bien flatter ?!?

Ce n'est pas une très effrayante histoire d'horreur. Disons que la dernière phrase est drôle - si on a tout lu. /library/php/forum/views/smilies/tongue.png
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Bonjour,

Merci de consulter le récapitulatif des histoires, Celle-là a déjà était racontée.

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#61 Le 05-08-2012 à 15h11

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Ah bon?

Désolé, je ne l'avais pas vue, celle-là! /library/php/forum/views/smilies/smile.png

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#62 Le 05-08-2012 à 17h51

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Ce n'est pas grave. Sinon, voici une histoire :

~ Souriez, vous êtes filmé ! ~

Tard le soir, une jeune femme rentre d'une soirée chez ses amis. Très fatiguée, elle regarde sa montre et voit apparaître 1h00 du matin. Alors, la jeune femme enfile son pyjama, se brosse les dents et fait un dernier tour de sa maison pour éteindre toutes les lumières.
Mais au moment d'ailler se coucher, elle entend quelqu'un qui sonne à sa porte. Elle rallume la lumière de l'entrée et ouvre la porte :

« -Bonjour, dit l'étrangé, je ne vous dérange pas j'espère ? Je viens de tomber en panne juste devant chez vous, et j'aimerais passer un coup de file. Est-ce possible ? »

-Heu.. Oui bien sur, répond la jeune femme en baillant. »

Sur ce, elle fit entrer le jeune homme chez elle. Une fois son coup de file passé, la jeune femme lui fit signe de ne pas oublier son manteau.

« -Vous savez il fait froid dehors, vous pourriez attrapez froid..

- Oui, c'est vrai. Hum, pourrais-je avoir une boisson chaude avant de reprendre la route ? »

Pressée d'aller se coucher, la jeune femme lui accorda cela, en pensant qu'elle en aurait bientôt finit avec lui. Le temps de se réchauffer devant un bon café, les deux papotèrent un long moment.

Mais vers 3h, la jeune femme se rendit compte qu'il était très tard et elle le fit remarquer à l'étrangé. Mais lui, ne semblant pas perturbé, répondit juste : « J'ai le temps ». Alors, ils continuèrent à parler de tout et de rien. Mais plus tard encore, la jeune femme fut attirée par un voyant rouge qui semblait venir de sous la veste du monsieur.. Elle repensa alors à ce film d'horreur dans lequel un homme s'introduisait chez une femme pour filmer son meurtre.


Comme l'a trouvez-vous ?

Dernière modification par millyxkawaii (Le 05-08-2012 à 17h55)

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#63 Le 05-08-2012 à 20h22

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milly': oui je la connait je l'ai vu sur internet!

voici une histoire(tres longue desoler /library/php/forum/views/smilies/hmm.png ):
Stéphanie ferma la porte d’entrée et remit ses clefs dans sa poche. Elle se retourna et observa quelques instants le couloir vide devant elle : Ils n’étaient pas rentrés. Ses parents avaient voulu passer le samedi soir « entre eux » à l’extérieur, et l’avaient prévenu qu’ils rentreraient tard. Elle en déduit qu’ils ne devraient pas revenir de si tôt : Il n’était que vingt-deux heures trente.
     Stéphanie regardait avec regret cette maison vide, elle s’était imaginé que sa soirée durerait un peu longtemps : Le cinéma avec Cédric c’était bien… mais elle aurait voulu passer plus de temps avec lui. Elle l’avait rencontré deux semaines auparavant lors de la fête qu’elle avait organisée pour ses dix-sept ans : Il lui avait bien tapé dans l’œil, et visiblement cela était réciproque… même si ce soir il n’avait pas insisté pour rester un peu plus avec elle.

     Ne sachant trop quoi faire, elle monta clopin-clopant l’escalier : De toute façon j’en passerai d’autres soirées avec lui… la prochaine fois je lui demanderai d’aller boire un verre… rrahhh ! c’est dommage, pour une fois que je n’avais pas les parents sur le dos !
     Arrivée dans sa chambre, elle repoussa la porte de la main, pendant qu’elle se refermait, elle envoya sa veste sur le dossier de sa chaise, et se laissa tomber sur son lit, allongée sur le dos. Le claquement de porte fit alors place au silence : Elle regardait le plafond, occupée à se remémorer la soirée, à se demander ce qu’elle ferait demain, à penser à ses prochains rendez-vous avec Cédric ou ses copines... sûrement qu’on l’appellerait demain pour passer le dimanche après midi à quelque chose de mieux que de rester enfermé à la maison… Au fait, on l’avait appelée ce soir ? Elle s’assit sur son lit, saisit le bas de son blouson, fouilla dans une des poches et en sortit son téléphone portable.

     Ah oui ! il est éteint. Je l’avais coupé au début de la séance de cinéma… j’ai oublié de le rallumer tout à l’heure. Bah ! c’est pas important, de toute façon personne n’a dû m’appeler ce soir… elles doivent être toutes à s’amuser... elles… et moi qui suis là toute seule... pfff... Ah, si ! J’ai eu des messages sur mon répondeur… hein ? huit ? Ben ça fait beaucoup quand même ! On cherche sûrement à m’appeler depuis tout à l’heure… hé, peut-être que je ne vais pas croupir ici ce soir finalement ! Fébrile à l’idée d’aller retrouver ce soir ses amies, elle appela sans attendre sa boîte vocale.

« Veuillez composer votre code secret puis tapez dièse.
...
Vous avez... HUIT… nouveaux messages »
     Elle avait donc bien eu huit messages, au moins là elle en était sûre, mais qui donc aurait bien pu l’appeler huit fois ce soir ?
     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT CINQ… MINUTES…
     - Quoi ! » s’étonna Stéphanie, stupéfaite. Elle regarda sans attendre sa montre pour s’assurer qu’elle ne se trompait pas sur l’heure : Il était vingt-deux heures trente-quatre.
     Bon dieu, huit appels en neuf minutes ! C’est insensé, pourquoi on chercherait autant à me joindre… à moins que… j’espère qu’il n’est rien arrivé de grave… Ce serait terrible si…
     Elle fut interrompue dans sa réflexion par le message qui commençait.

     Au début elle se demanda si son téléphone fonctionnait correctement, mais il marchait puisqu’elle venait d’entendre distinctement la voix de la boîte vocale. Le son était étrange, comme un froissement de linge au vent suivit d’un bruit sourd, le son se répétait, régulier… comme le bruit d’une machine à laver, comme un tourne disque arrivé à la fin du quarante cinq tour. Le son paraissait si froid, si répétitif « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM ». Pendant les premières secondes, elle ne trouvait pas de quel son il pouvait s’agir, puis le bruit d’une voiture lui fit comprendre qu’on l’appelait de la rue. Du même coup tout lui parut évident : On l’appelait par erreur ! Le portable devait être dans la poche, le clavier n’était pas verrouillé, et l’appui des touches avait finit par appeler un numéro du répertoire du téléphone… et c’était tombé sur elle.
     Amusée, elle se prit à écouter le message : toujours ce bruit mécanique, répétitif, le son des voitures, et aussi celui du vent : C’est vrai qu’il ne faisait pas très beau en ce soir d’octobre, et en sortant du cinéma le vent commençait déjà à souffler. Le son en était ici assez angoissant, comme une longue plainte fantomatique, un « oooooouuuuuuuhhhhhhh » qui lui rappelait les soirs de grand vent pendant lesquels ce dernier émettait sa complainte par le foyer de la cheminée du salon.

     « Fin du message »
     Le brusque retour à la voix de la boîte vocale la surprit. Le message s’était coupé d’un coup, sûrement dû à un nouvel appui accidentel sur la touche d’appel. Ce ne fut pas la brutalité du passage qui la surpris, mais plutôt le fait d’entendre cette voix féminine, calme et posée, qui contrastait tellement avec le bruit mécanique de la marche, mêlé à celui des voitures, et du souffle du vent sur le micro du téléphone. Elle ne s’en était pas rendu compte lors de l’écoute du message, mais ce son était au fond assez sinistre.
     « Tapez 2 pour effacer, 3 pour réécouter.
     ...
     Effacer ».

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT SEPT… MINUTES… »
     Le message était quasi identique au premier : Toujours ce bruit, répétitif, monotone, qui devenait pour elle un peu angoissant, plus pesant que précédemment.
     Et puis il va y en avoir encore six comme ça ?... Eh bien... Super ! Mais de qui ça provient ? Qui c’est qui m’appèle à la fin ? Voulant passer au prochain message pour que la boîte vocale lui fournisse le numéro de l’appelant, et ayant assez entendu ce bruit, elle coupa le message sans attendre.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT HUIT… MINUTES… »
     Mais la boîte ne donnait pas de numéro, elle aurait dû formuler normalement un « message provenant du ... ». Elle se rappela que sur les deux premier messages on ne lui avait pas signalé le numéro. Elle en déduisit que l’appelant avait sûrement choisi que son numéro soit masqué aux personnes qu’il appelait : Sur le portable de Stéphanie le message « numéro privé » s’affichait quand une personne ayant cette option lui téléphonait. Elle fouilla dans sa mémoire pour trouver qui elle connaissait dans ce cas-là. A peine elle avait commencé à réfléchir que le message débutait, et le son lancinant reprenait. Un peu plus à chaque fois, il intensifiait en elle un certain malaise.
     Le son répétitif s’arrêta. Le hululement du vent prenait plus d’importance en l’absence du bruit assommant produit par la marche, elle entendait toujours les voitures passer. La personne était toujours dans la rue et venait de s’arrêter, elle n’entendait plus rien d’autre que le vent et les voitures. Que fait-il ? Ou bien que fait-elle ? pensait Stéphanie. Il est peut être en train de regarder quelque chose ? de s’arrêter pour allumer une cigarette ? ou alors juste pour prendre un peu le temps de flâner ? Tout cela la rendait de plus en plus curieuse… en même temps elle ne se sentait pas très bien, gênée d’entendre une autre personne à son insu, et aussi tout simplement parce que le bruit de la marche à travers le micro du téléphone dans la poche était sinistre !
     Puis le désagréable son de marche reprit et commençait franchement à l’apeurer : « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… ». Elle continuait d’écouter le message, le bruit des voitures semblait diminuer : Est ce qu’il rentrait dans un lotissement ? est ce qu’il allait dans une plus petite rue ? Finalement tracassée par ce côté « voyeur malgré elle », elle coupa le message et passa au suivant.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE… MINUTES… »
     Le message était toujours le même : toujours ce bruit répétitif et morne. Mais elle n’entendait plus le bruit des voitures, la personne devait sûrement s’être engagée dans une petite rue. Agacée par le son, elle coupa le message.
     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEUR...
     BIP BIP... BIP BIP»
     Surprise par le son elle mis le téléphone face à elle : Comme le signal sonore l’avait indiqué, elle venait de recevoir un message... La personne continuait à l’appeler par erreur.

     Elle remit le téléphone à son oreille, et fut surprise d’entendre assez distinctement le miaulement d’un chat. Elle n’entendait toujours aucun bruit de voiture, juste le bruit et le vent. Puis, le son se transforma quelque peu, elle percevait comme un écho, la personne était peut-être dans une cour, ou dans une petite ruelle étriquée. Le bruit répétitif se fit de plus en plus lent, puis s’arrêta, c’est alors qu’à sa grande surprise elle entendit des gémissements. Ces derniers étaient plutôt faibles, mais elle en était sûre, elle entendait quelqu’un gémir au loin, c’était une voix féminine, mais elle avait du mal à l’entendre. Encore plus que les pas, ces gémissements la mettaient mal à l’aise.
     Le bruit de la marche reprit, mais lentement. Le volume des gémissements augmentait : Il ou elle s’approche d’elle… est ce qu’elle est malade ? pourquoi elle gémit comme ça ? peut-être il ou elle est de sa famille ? Stéphanie s’embrouillait dans toutes ces interrogations… Elle avait peur, de plus en plus peur de ce qu’elle entendait, mais tout cela l’hypnotisait, elle voulait suffisamment savoir ce qui allait se passer pour ne pas raccrocher.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE ET UNE… MINUTES… »
     Le vent soufflait toujours, les pas avaient cessé, les gémissements continuaient, ils étaient très forts maintenant : Stéphanie en déduit qu’il ou elle devait se tenir devant la femme. Etait-ce sa mère ? peut-être que oui… ou peut être que non, elle ne savait plus très bien. Elle se sentait fébrile et à la fois mal à l’aise d’écouter tout cela à leur insu.
     Elle fut vraiment inquiète quand les gémissements firent place à des pleurs : Elle entendait distinctement la femme pleurer, à l’oreille elle aurait dit que la femme devait être assez âgée, dans la cinquantaine peut être. Mais  pourquoi se mettait elle à pleurer ? Stéphanie serrait le téléphone à son oreille en tremblant : son bras, son corps frémissait, elle se sentait mal… elle avait peur de ce quelle entendait : Le son du vent, les pleurs, et auparavant le son des pas l’avait fait plonger petit à petit du trouble vers l’effroi. Mais elle ne voulait pas raccrocher, elle voulait savoir, elle voulait entendre la suite.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE TROIS… MINUTES… »
     Les pleurs redoublaient, elle avait de plus en plus de mal à continuer d’entendre cela. Brusquement un bruit effréné de frottements se fit entendre avec force, ils furent très vite accompagnés de bruits secs et sourds. Ce fut surtout les cris de la femme qui terrorisèrent Stéphanie. Elle hurlait, elle souffrait… le bruit sourd qu’elle entendait maintenant, elle le compris vite, était assurément le bruit des coups qu’il ou elle infligeait à la vieille femme.
     Stéphanie était pétrifiée par ce quelle écoutait et ce qu’elle pouvait en conclure. Elle restait assise sur son lit, ne sachant que faire, tout se mélangeait dans sa tête, tout cela était tellement inconcevable : Elle était en train d’entendre, avec une poignée de minutes de retard, quelqu’un battre furieusement une vieille femme. Complètement paniquée, elle coupa le message.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE QUATRE… MINUTES… »
     Ca n’en finira jamais ! se disait elle en entendant l’annonce du prochain message. Elle faillit éteindre son téléphone, mais elle ne le fit pas… peut-être pouvait-elle en apprendre plus ? peut-être qu’elle pourrait intervenir ? … elle ne pouvait se résoudre à raccrocher, elle ne le pouvait pas… elle ne le voulait pas.
     Rien que le début du message la pétrifia de nouveau : les frottements bruissaient toujours autant, les cris de la femme avaient fait place à des gémissements, le son des coups continuait à retentir… Elle entendait l’agresseur émettre de petits geignements, sûrement dus à l’effort monstrueux et infâme qu’il déployait : C’était la voix d’un homme… mais elle entendait encore mal le son. Ce fut progressivement que le sombre nuage de la terreur envahi Stéphanie à mesure que les bruits de la femme s’estompaient, et que les geignements de l’agresseur faisaient place à des mugissements de plus en plus forts… Progressivement elle reconnut avec effroi la voix de Cédric. Elle se rappela avoir eu des appels de lui : son numéro ne s’affichait pas sur son téléphone. Elle s’en souvenait bien car elle s’était dit qu’elle ne pourrait pas savoir quand il l’appellerai avant de décrocher. Son petit ami était donc assurément en train de battre une femme quelque part, peut-être qu’il la battait à mort… il la battait à mort : On entendait plus la voix de la femme, plus que les beuglements de Cédric et le bruit de ses coups sur le corps de la femme. Terrifiée, Stéphanie raccrocha, elle ne voulait plus entendre tous ces messages, tout cela était trop horrible, trop abominable, tout cela n’était pas possible, elle avait dû mal comprendre.

     La sonnerie de son téléphone, pourtant guillerette, la terrifia quand elle se déclencha. Elle était plongée dans ses tourments, ne sachant ni que penser ni que faire. La sonnerie de son téléphone lui fit l’effet d’une décharge électrique à travers le corps. Lentement elle ramena son portable devant ses yeux, sur l’écran, elle n’en était pas surprise, était indiqué « numéro privé ». Elle attendit une sonnerie, puis deux, elle était épouvantée. Puis presque impulsivement elle appuya sur la touche pour décrocher et colla promptement le téléphone à son oreille : Elle n’entendait plus de coups, elle entendait juste un bruit régulier de frottement, c’était tout… Stéphanie pleurait, elle imaginait la pauvre femme à moitié morte, Cédric la traînant par les pieds… Cette image dans sa tête lui était insoutenable, surtout accompagnée de ce sinistre son de frottement.
     Soudain, un grand choc se fit entendre, le volume en était si fort qu’il lui fit mal à l’oreille, et ajouté à l’effet de surprise, elle en décolla quelque temps l’appareil. Quand elle le rapprocha de nouveau, le seul son qu’elle entendit était celui du vent, bien plus fort que précédemment.
     Subitement elle entendit comme un grondement sourd mêlé de fracas. Puis d’un coup, elle entendit très distinctement de la voix de Cédric :
     « Stéphanie ? ».
     Prise par surprise, elle ne put réprimer un petit cri d’étonnement.
     « Putain Stéphanie ? Bon Dieu, qu’est ce que tu fais en ligne, merde ! MERDE ! MER ».
     Complètement abasourdie et terrorisée elle raccrocha aussitôt et éteignit son téléphone.

     Il m’a entendu crier ! mon dieu, il sait que j’ai entendu… A l’aide, pitié ! Qu’est ce que je peux faire ? Il va peut-être venir ici me chercher… me tuer ! Je ne peux pas rester ici, je dois m’en aller tout de suite, peut-être était-il tout près de la maison ? Oh putain, c’est horrible, je… je dois aller à la police… je dois partir d’ici… il faut que je prévienne la police !
     Sur ce, Stéphanie bondit de sur son lit, et se précipita à toute allure hors de la maison. Elle courrait vers le commissariat de la ville, qui n’était qu’à cinq minutes de sa maison.

     Mais elle n’arriva jamais au commissariat.
     On l’enterra une semaine plus tard, deux jours après avoir retrouvé son corps, ainsi que celui de la mendiante que Cédric avait battu à mort.

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#64 Le 05-08-2012 à 22h45

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♥♥♥ Ouh la la! Elle est longue celle-là! /library/php/forum/views/smilies/lol.png ♥♥♥

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#65 Le 05-08-2012 à 23h48

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Ça me fait peur mais j'arrive pas à ne pas regarder /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

Je sens que je vais faire des cauchemars /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif/static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

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#66 Le 06-08-2012 à 10h34

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Kikou!

Cocovanilla tu n'as qua te dire que c'es que des histoire ou fait comme moi faitl e vide dans ta tête ou parle en a tes parents ils pourront t'aider!/library/php/forum/views/smilies/smile.png /library/php/forum/views/smilies/wink.png

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#67 Le 06-08-2012 à 11h43

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Coucou !!


Je viens de lire la plupart des histoires de ce topic : j'adore !!
Je trouve juste qu'il faudrait préciser si ce sont des histoires réelles ou inventées /library/php/forum/views/smilies/wink.png

J'ai aussi des histoires à raconter mais je vais vérifier qu'elles ne sont pas déjà postée /library/php/forum/views/smilies/big_smile.png

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#68 Le 06-08-2012 à 11h55

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Coucou !

Mezou ~ Elle sont toute réelles sauf celles que j'ai inventé qui s'appelle "?" dans le récap' /library/php/forum/views/smilies/big_smile.png

Mais dans le récapitulatif elle n'y sont pas toute ... Faute de temps mes milly vas le faire ^O^

Bon une autre :

C'était une nuit sombre et brumeuse. Laura avait de la difficulté à rester éveillé et la route était trempé. Son niveau d'anxiété n'était pas pour aider car le niveau de la jauge d'essence commençait à être dangereusement bas et elle n'avait aucune idée d'où se trouvait la prochaine ville.

Finalement juste au moment ou elle allait arrêter la voiture pour la nuit et dormir sur le bord de la route, elle aperçut une petite station d'essence décrépie sur le bord de la route. Elle s'arrête à la station. Le commis fait le tour de la voiture et semble être très distrait pendant qu'elle lui demande de faire le plein, il continue à lui faire de drôle de grimaces et semble très bizarre. Il s'exécute enfin, mais lui demande d'ouvrir le capot, parce qu'il flaire quelques choses de suspect. Son anxiété recommence à grimper car elle se rend compte qu'elle est seule dans une petite station service crasseuse au milieu de nul part et que le commis trouve toutes sorte de bonne raison pour la garder ici...
Il lui demande de venir voir le moteur, il veut lui montrer quelques choses. Ne sachant pas trop quoi faire d'autre, elle fait ce qu'il lui dit, tout en se demandant pourquoi elle ne se met pas à crier. Aussitôt arrivée devant la voiture, il lui attrape le bras et lui dit :" Cette voiture a besoin d'une remorqueuse, vous devez venir avec moi dans le bureau !" Puis il lui met la main sur la bouche et l'entraîne de force a l'intérieur du bureau.

Elle commence à lui mordre la main. Une fois à l'intérieur, il la laisse partir et lui dit : "Il y a un homme couché sur le siège arrière de votre voiture !!!"
Mais la femme apeurée par en courant vers sa voiture et s'en vas a toute vitesse. Au bout de quelques minutes, regardent dans son rétroviseur, elle vit un homme avec un blouson à capuche et une hache dans la main sur la banquette arrière.

Et l'homme d'un mouvement de bras décapita Laura avec sa hache. Le cadavre de Laura fut retrouvé peut de jour après. La police arrêta le tueur en série des années plus tard.

Alors as - tu regardé sur la banquette arrière ?...

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#69 Le 06-08-2012 à 11h55

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La dames blanche(legendes).

Il existent plusieurs legendes de dames blanches.

La dames blanches annonciatrice d'un mort prochaines est la transposition continentale de l'ancien mythe irlandais  de la banshee repris dans la legende de la fee Melusine  :attachée a la puissante lignée des Lusignan son apparitionsur une tour  de chateaude Lusignan accompagnesde hurlement lugubre et de siflement annoncait la mort d'un membre de la famille dans les trois jours.

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#70 Le 06-08-2012 à 12h12

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ah oui je l'ai lue cette histoire de la blanshee. elle fait un peu peur!

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#71 Le 06-08-2012 à 12h21

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Je vais vous raconter une toute petite histoire (j'ai la flemme d'en écrire une longue ^^') :

C'est l'histoire d'un vieil homme, sa femme, et leur chat. Un jour, le vieil homme tomba gravement malade et dû aller à l'hôpital. Sa femme et son chat restèrent à la maison. Le chat restait couché sur le lit du vieil homme la plupart du temps.
Un soir, quelques jours plus tard, le chat se leva et erra dans toute la maison en miaulant. Il n'avait jamais fait ça et était très calme d'habitude.
Quelques minutes plus tard, le téléphone sonna et la femme répondit. Le vieil homme venait de mourrir. Le chat se calma aussitôt.

Dernière modification par mezou (Le 06-08-2012 à 12h21)

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#72 Le 06-08-2012 à 12h24

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Kikou!

Alors j'ai fait des recherches sur la banshee:


Une banshee peut revêtir plusieurs apparences :
Dans le folklore traditionnel irlandais, la banshee était une petite fille perdue dans les bois,vêtue d’une robe blanche, à la longue chevelure argentée et au visage très pâle3.
On la rencontre sous la forme d’une belle jeune fille défigurée par la tristesse au point que ses yeux sont rouges de sang, ou au contraire d’une vieille femme hideuse aux longs et maigres cheveux, vêtue d’une robe verte et d’un manteau gris.


Le cri de la banshee est le plus horrible qui puisse s'imaginer. À vous tuer sur-le-champ (si elle est énervée). Il tient à la fois du hurlement du loup, des appels de l'enfant abandonné, des plaintes de la femme qui accouche et des cris de l'oie sauvage. Ceux qui l'ont entendu affirment que ce cri réveillerait n'importe qui dormant d'un sommeil profond, qu'il resterait audible au milieu d'une violente tempête et qu'il blanchirait les cheveux de celui qui l'entend.
Lorsqu'une banshee émet ce cri, celui qui l'entend sait qu'un membre de sa famille est mort ou s'apprête à mourir. Il arrive parfois que des banshees se réunissent pour hurler à l'unisson, annonçant l'arrivée d'une grande catastrophe ou le décès d'une personne importante.


Parfois, la banshee se tient près d'un cours d'eau, où elle se lamente en lavant le linceul du futur défunt. C'est notamment le cas des lavandières de nuit bretonnes.
Chaque grande famille irlandaise avait sa propre banshee. Celle-ci suivait la famille si elle déménageait dans un autre pays.
« Une des plus belles superstitions des fictions irlandaises est d'assigner à certaines familles d'une vieille souche et d'un rang distingué, le privilège d'une banshie, ainsi nommée, ou fée domestique, dont l'office est d'apparaître en deuil pour annoncer la mort prochaine d'un membre de cette race.  »


Souvent, la venue d'une banshee associée à une ancienne famille s'accompagne de celle d'un coche noir, conduit par un fantôme sans tête. C'est lui qui est alors chargé de recueillir l'âme du défunt. En janvier 1804, deux soldats du Coldstream Regiment virent passer un tel attelage à Londres. Lorsqu'ils virent une femme sans tête se déplacer le long du Birdcage Walk en coche, ils eurent une frayeur telle qu'ils durent séjourner quelque temps à l'hôpital.

À l'origine, entendre son hurlement signifiait la mort d'un membre de la famille ; plus tard, c'est la personne qui entendait la banshee qui mourait dans un avenir proche. Les clans écossais avaient généralement une banshee pour trois.

Origines
On peut voir dans le personnage de la banshee l’ascendance divine de la déesse Morrigan qui peut prendre l’apparence d’une corneille et prophétiser la mort des héros.
Certains pensent qu'il s'agit d'une dégénérescence d'une autre déité de la mythologie celtique, la Bansidh. Initialement, c'est une messagère de l'Autre Monde (le Sidh), elle sert d'intermédiaire entre les dieux des Tuatha Dé Danann et les hommes. La christianisation a dégradé son rôle pour la reléguer, dans le folklore, au niveau des fées, des sorcières et des fantômes.

Banshee ou dame blanche ?

Dame Blanche et banshee se confondent parfois en un personnage trouble ayant les mêmes caractéristiques. La Dame Blanche, mythe plus moderne semble clairement dérivé de celui de la banshee. On peut supposer que, fort de son succès, celui-ci est ensuite allé « repolliniser » les pays émetteurs puisque l’on trouve aussi des Dames Blanches en Angleterre, en Irlande et au Pays de Galles, en même temps que des banshees.

En France, certaines Dames Blanches sont clairement des banshees. On connaît notamment l’exemple de la Dame du palais des Bourbons qui se manifestait la veille de la mort d’un des membres de cette famille.[réf. nécessaire] Il y a aussi la Dame Blanche de Lyon qui aurait hanté les anciennes murailles de la ville.

Dernière modification par lilouchien11 (Le 06-08-2012 à 12h25)

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#73 Le 06-08-2012 à 15h06

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Bonjour, je vais vous raconter une histoire que j'ai vraiment vécu:(vous pouvez penser que c'est l'histoire de bloody marie mais non(et je ne l'ai pas vraiment vécu vu que c'est la mère de ma copine qui l'a raconté a mon père et moi))
j'avais 7 ans et je vivais vers Lille dans un petit village du nom de vendeville. Ma meilleure amie, qui s'appelait capucine avait 7 ans aussi et son père était docteur. Un jour, capucine est tombée malade mais son père ne connaissait pas cette maladie, alors un jour, elle mourut. son père, (Frédéric) l'enterra dans leur jardin mais la mère de capucine (Rose) ne voulait pas croire a sa mort alors elle a accrochée une ficelle relié a une clochette au poignée de capucine . Et le lendemain elle est venue nous voir mon père et moi et nous disant que son Frédéric avait été tué et que la tombe de capucine avait été déterré et que leur jardin était complètement détruit. Alors avec rose et mon père , on a déménagé a Cannes et on est resté la bas. Je vous dis j'ai encore peur rien qu'en vous le racontant j'ai peur:mimi02: et capucine me manque terriblement.../static/images/forum/smilies/cromimi-triste.gif

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#74 Le 06-08-2012 à 15h55

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Elle est horrible cette histoire Aurane !!
Il y a juste un truc que je comprends pas : pourquoi ils l'on enterrée dans leur jardin ?

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#75 Le 06-08-2012 à 15h56

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Bonjour, j'ai plusieurs choses à vous dire :

* Dans le récap', je ne mets ni histoires que vous avez vécu ni autre versions d'une histoire.
* Suite au manque de temps, je ne pourrais pas ajouter vos histoires rapidement.
* Aucunes photos ou vidéos ne sont tolérés à part dans un spoiler (mais je vérifirai si elles font trop peurs, car certains sont plus sensibles que d'autres)

Voilà. J'ajouterai à ceci que je pars pour une semaine dans les Alpes prochainement, si la météo le permet. Je n'aurais peut-être pas internet (mais je croise les doigts), donc je mettrai à jour le topic à mon retour.

Bonne journée.

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