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#1001 Le 15-03-2014 à 14h48

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Je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà posté donc je tente (elle est assez longue) :

Stéphanie ferma la porte d'entrée et remit ses clefs dans sa poche. Elle se retourna et observa quelques instants le couloir vide devant elle : Ils n'étaient pas rentrés. Ses parents avaient voulu passer le samedi soir « entre eux » à l'extérieur, et l'avaient prévenu qu'ils rentreraient tard. Elle en déduit qu'ils ne devraient pas revenir de si tôt : Il n'était que vingt-deux heures trente.

Stéphanie regardait avec regret cette maison vide, elle s'était imaginé que sa soirée durerait un peu longtemps : Le cinéma avec Cédric c'était bien... mais elle aurait voulu passer plus de temps avec lui. Elle l'avait rencontré deux semaines auparavant lors de la fête qu'elle avait organisée pour ses dix-sept ans : Il lui avait bien tapé dans l'œil, et visiblement cela était réciproque... même si ce soir il n'avait pas insisté pour rester un peu plus avec elle.



Ne sachant trop quoi faire, elle monta clopin-clopant l'escalier : De toute façon j'en passerai d'autres soirées avec lui... la prochaine fois je lui demanderai d'aller boire un verre... rrahhh ! c'est dommage, pour une fois que je n'avais pas les parents sur le dos !

Arrivée dans sa chambre, elle repoussa la porte de la main, pendant qu'elle se refermait, elle envoya sa veste sur le dossier de sa chaise, et se laissa tomber sur son lit, allongée sur le dos. Le claquement de porte fit alors place au silence : Elle regardait le plafond, occupée à se remémorer la soirée, à sedemander ce qu'elle ferait demain, à penser à ses prochains rendez-vous avec Cédric ou ses copines... sûrement qu'on l'appellerait demain pour passer le dimanche après midi à quelque chose de mieux que de rester enfermé à la maison... Au fait, on l'avait appelée ce soir ? Elle s'assit sur son lit, saisit le bas de son blouson, fouilla dans une des poches et en sortit son téléphone portable.



Ah oui ! il est éteint. Je l'avais coupé au début de la séance de cinéma... j'ai oublié de le rallumer tout à l'heure. Bah ! c'est pas important, de toute façon personne n'a dû m'appeler ce soir... elles doivent être toutes à s'amuser... elles... et moi qui suis là toute seule... pfff... Ah, si ! J'ai eu des messages sur mon répondeur... hein ? huit ? Ben ça fait beaucoup quand même ! On cherche sûrement à m'appeler depuis tout à l'heure... hé, peut-être que je ne vais pas croupir ici ce soir finalement ! Fébrile à l'idée d'aller retrouver ce soir ses amies, elle appela sans attendre sa boîte vocale.



« Veuillez composer votre code secret puis tapez dièse.

...

Vous avez... HUIT... nouveaux messages »

Elle avait donc bien eu huit messages, au moins là elle en était sûre, mais qui donc aurait bien pu l'appeler huit fois ce soir ?

« Aujourd'hui à VINGT DEUX... HEURES... VINGT CINQ... MINUTES...

- Quoi ! » s'étonna Stéphanie, stupéfaite. Elle regarda sans attendre sa montre pour s'assurer qu'elle ne se trompait pas sur l'heure : Il était vingt-deux heures trente-quatre.

Bon dieu, huit appels en neuf minutes ! C'est insensé, pourquoi on chercherait autant à me joindre... à moins que... j'espère qu'il n'est rien arrivé de grave... Ce serait terrible si...

Elle fut interrompue dans sa réflexion par le message qui commençait.



Au début elle se demanda si son téléphone fonctionnait correctement, mais il marchait puisqu'elle venait d'entendre distinctement la voix de la boîte vocale. Le son était étrange, comme un froissement de linge au vent suivit d'un bruit sourd, le son se répétait, régulier... comme le bruit d'une machine à laver, comme un tourne disque arrivé à la fin du quarante cinq tour. Le son paraissait si froid, si répétitif « schrrr frrr chrrr BOUM... schrrr frrr chrrr BOUM... schrrr frrr chrrr BOUM ». Pendant les premières secondes, elle ne trouvait pas de quel son il pouvait s'agir, puis le bruit d'une voiture lui fit comprendre qu'on l'appelait de la rue. Du même coup tout lui parut évident : On l'appelait par erreur ! Le portable devait être dans la poche, le clavier n'était pas verrouillé, et l'appui des touches avait finit par appeler un numéro du répertoire du téléphone... et c'était tombé sur elle.

Amusée, elle se prit à écouter le message : toujours ce bruit méca***, répétitif, le son des voitures, et aussi celui du vent : C'est vrai qu'il ne faisait pas très beau en ce soir d'octobre, et en sortant du cinéma le vent commençait déjà à souffler. Le son en était ici assez angoissant, comme une longue plainte fantomatique, un « oooooouuuuuuuhhhhhhh » qui lui rappelait les soirs de grand vent pendant lesquels ce dernier émettait sa complainte par le foyer de la cheminée du salon.



« Fin du message »

Le brusque retour à la voix de la boîte vocale la surprit. Le message s'était coupé d'un coup, sûrement dû à un nouvel appui accidentel sur la touche d'appel. Ce ne fut pas la brutalité du passage qui la surpris, mais plutôt le fait d'entendre cette voix féminine, calme et posée, qui contrastait tellement avec le bruit méca*** de la marche, mêlé à celui des voitures, et du souffle du vent sur le micro du téléphone. Elle ne s'en était pas rendu compte lors de l'écoute du message, mais ce son était au fond assez sinistre.

« Tapez 2 pour effacer, 3 pour réécouter.

...

Effacer ».



« Aujourd'hui à VINGT DEUX... HEURES... VINGT SEPT... MINUTES... »

Le message était quasi identique au premier : Toujours ce bruit, répétitif, monotone, qui devenait pour elle un peu angoissant, plus pesant que précédemment.

Et puis il va y en avoir encore six comme ça ?... Eh bien... Super ! Mais de qui ça provient ? Qui c'est qui m'appèle à la fin ? Voulant passer au prochain message pour que la boîte vocale lui fournisse le numéro de l'appelant, et ayant assez entendu ce bruit, elle coupa le message sans attendre.



« Aujourd'hui à VINGT DEUX... HEURES... VINGT HUIT... MINUTES... »

Mais la boîte ne donnait pas de numéro, elle aurait dû uler normalement un « message provenant du ... ». Elle se rappela que sur les deux premier messages on ne lui avait pas signalé le numéro. Elle en déduisit que l'appelant avait sûrement choisi que son numéro soit masqué aux personnes qu'il appelait : Sur le portable de Stéphanie le message « numéro privé » s'affichait quand une personne ayant cette option lui téléphonait. Elle fouilla dans sa mémoire pour trouver qui elle connaissait dans ce cas-là. A peine elle avait commencé à réfléchir que le message débutait, et le son lancinant reprenait. Un peu plus à chaque fois, il intensifiait en elle un certain malaise.

Le son répétitif s'arrêta. Le hululement du vent prenait plus d'importance en l'absence du bruit assommant produit par la marche, elle entendait toujours les voitures passer. La personne était toujours dans la rue et venait de s'arrêter, elle n'entendait plus rien d'autre que le vent et les voitures. Que fait-il ? Ou bien que fait-elle ? pensait Stéphanie. Il est peut être en train de regarder quelque chose ? de s'arrêter pour allumer une cigarette ? ou alors juste pour prendre un peu le temps de flâner ? Tout cela la rendait de plus en plus curieuse... en même temps elle ne se sentait pas très bien, gênée d'entendre une autre personne à son insu, et aussi tout simplement parce que le bruit de la marche à travers le micro du téléphone dans la poche était sinistre !

Puis le désagréable son de marche reprit et commençait franchement à l'apeurer : « schrrr frrr chrrr BOUM... schrrr frrr chrrr BOUM... ». Elle continuait d'écouter le message, le bruit des voitures semblait diminuer : Est ce qu'il rentrait dans un lotissement ? est ce qu'il allait dans une plus petite rue ? Finalement tracassée par ce côté « voyeur malgré elle », elle coupa le message et passa au suivant.



« Aujourd'hui à VINGT DEUX... HEURES... TRENTE... MINUTES... »

Le message était toujours le même : toujours ce bruit répétitif et morne. Mais elle n'entendait plus le bruit des voitures, la personne devait sûrement s'être engagée dans une petite rue. Agacée par le son, elle coupa le message.

« Aujourd'hui à VINGT DEUX... HEUR...

BIP BIP... BIP BIP»

Surprise par le son elle mis le téléphone face à elle : Comme le signal sonore l'avait indiqué, elle venait de recevoir un message... La personne continuait à l'appeler par erreur.



Elle remit le téléphone à son oreille, et fut surprise d'entendre assez distinctement le miaulement d'un chat. Elle n'entendait toujours aucun bruit de voiture, juste le bruit et le vent. Puis, le son se trans a quelque peu, elle percevait comme un écho, la personne était peut-être dans une cour, ou dans une petite ruelle étriquée. Le bruit répétitif se fit de plus en plus lent, puis s'arrêta, c'est alors qu'à sa grande surprise elle entendit des gémissements. Ces derniers étaient plutôt faibles, mais elle en était sûre, elle entendait quelqu'un gémir au loin, c'était une voix féminine, mais elle avait du mal à l'entendre. Encore plus que les pas, ces gémissements la mettaient mal à l'aise.

Le bruit de la marche reprit, mais lentement. Le volume des gémissements augmentait : Il ou elle s'approche d'elle... est ce qu'elle est malade ? pourquoi elle gémit comme ça ? peut-être il ou elle est de sa famille ? Stéphanie s'embrouillait dans toutes ces interrogations... Elle avait peur, de plus en plus peur de ce qu'elle entendait, mais tout cela l'hypnotisait, elle voulait suffisamment savoir ce qui allait se passer pour ne pas raccrocher.



« Aujourd'hui à VINGT DEUX... HEURES... TRENTE ET UNE... MINUTES... »

Le vent soufflait toujours, les pas avaient cessé, les gémissements continuaient, ils étaient très forts maintenant : Stéphanie en déduit qu'il ou elle devait se tenir devant la femme. Etait-ce sa mère ? peut-être que oui... ou peut être que non, elle ne savait plus très bien. Elle se sentait fébrile et à la fois mal à l'aise d'écouter tout cela à leur insu.

Elle fut vraiment inquiète quand les gémissements firent place à des pleurs : Elle entendait distinctement la femme pleurer, à l'oreille elle aurait dit que la femme devait être assez âgée, dans la cinquantaine peutêtre. Mais pourquoi se mettait elle à pleurer ? Stéphanie serrait le téléphone à son oreille en tremblant : son bras, son corps frémissait, elle se sentait mal... elle avait peur de ce quelle entendait : Le son du vent, les pleurs, et auparavant le son des pas l'avait fait plonger petit à petit du trouble vers l'effroi. Mais elle ne voulait pas raccrocher, elle voulait savoir, elle voulait entendre la suite.



« Aujourd'hui à VINGT DEUX... HEURES... TRENTE TROIS... MINUTES... »

Les pleurs redoublaient, elle avait de plus en plus de mal à continuer d'entendre cela. Brusquement un bruit effréné de frottements se fit entendre avec force, ils furent très vite accompagnés de bruits secs et sourds. Ce fut surtout les cris de la femme qui terrorisèrent Stéphanie. Elle hurlait, elle souffrait... le bruit sourd qu'elle entendait maintenant, elle le compris vite, était assurément le bruit des coups qu'il ou elle infligeait à la vieille femme.

Stéphanie était pétrifiée par ce quelle écoutait et ce qu'elle pouvait en conclure. Elle restait assise sur son lit, ne sachant que faire, tout se mélangeait dans sa tête, tout cela était tellement inconcevable : Elle était en train d'entendre, avec une poignée de minutes de retard, quelqu'un battre furieusement une vieille femme. Complètement paniquée, elle coupa le message.



« Aujourd'hui à VINGT DEUX... HEURES... TRENTE QUATRE... MINUTES... »

Ca n'en finira jamais ! se disait elle en entendant l'annonce du prochain message. Elle faillit éteindre son téléphone, mais elle ne le fit pas... peut-être pouvait-elle en apprendre plus ? peut-être qu'elle pourrait intervenir ? ... elle ne pouvait se résoudre à raccrocher, elle ne le pouvait pas... elle ne le voulait pas.

Rien que le début du message la pétrifia de nouveau : les frottements bruissaient toujours autant, les cris de la femme avaient fait place à des gémissements, le son des coups continuait à retentir... Elle entendait l'agresseur émettre de petits geignements, sûrement dus à l'effort monstrueux et infâme qu'il déployait : C'était la voix d'un homme... mais elle entendait encore mal le son. Ce fut progressivement que le sombre nuage de la terreur envahi Stéphanie à mesure que les bruits de la femme s'estompaient, et que les geignements de l'agresseur faisaient place à des mugissements de plus en plus forts... Progressivement elle reconnut avec effroi la voix de Cédric. Elle se rappela avoir eu des appels de lui : son numéro ne s'affichait pas sur son téléphone. Elle s'en souvenait bien car elle s'était dit qu'elle ne pourrait pas savoir quand il l'appellerai avant de décrocher. Son petit ami était donc assurément en train de battre une femme quelque part, peut-être qu'il la battait à mort... il la battait à mort : On entendait plus la voix de la femme, plus que les beuglements de Cédric et le bruit de ses coups sur le corps de la femme. Terrifiée, Stéphanie raccrocha, elle ne voulait plus entendre tous ces messages, tout cela était trop horrible, trop abominable, tout cela n'était pas possible, elle avait dû mal comprendre.



La sonnerie de son téléphone, pourtant guillerette, la terrifia quand elle se déclencha. Elle était plongée dans ses tourments, ne sachant ni que penser ni que faire. La sonnerie de son téléphone lui fit l'effet d'une décharge électrique à travers le corps. Lentement elle ramena son portable devant ses yeux, sur l'écran, elle n'en était pas surprise, était indiqué « numéro privé ». Elle attendit une sonnerie, puis deux, elle était épouvantée. Puis presque impulsivement elle appuya sur la touche pour décrocher et colla promptement le téléphone à son oreille : Elle n'entendait plus de coups, elle entendait juste un bruit régulier de frottement, c'était tout... Stéphanie pleurait, elle imaginait la pauvre femme à moitié morte, Cédric la traînant par les pieds... Cette image dans sa tête lui était insoutenable, surtout accompagnée de ce sinistre son de frottement.

Soudain, un grand choc se fit entendre, le volume en était si fort qu'il lui fit mal à l'oreille, et ajouté à l'effet de surprise, elle en décolla quelque temps l'appareil. Quand elle le rapprocha de nouveau, le seul son qu'elle entendit était celui du vent, bien plus fort que précédemment.

Subitement elle entendit comme un grondement sourd mêlé de fracas. Puis d'un coup, elle entendit très distinctement de la voix de Cédric :

« Stéphanie ? ».

Prise par surprise, elle ne put réprimer un petit cri d'étonnement.

« Putain Stéphanie ? Bon Dieu, qu'est ce que tu fais en ligne, merde ! MERDE ! MER ».

Complètement abasourdie et terrorisée elle raccrocha aussitôt et éteignit son téléphone.



Il m'a entendu crier ! mon dieu, il sait que j'ai entendu... A l'aide, pitié ! Qu'est ce que je peux faire ? Il va peut-être venir ici me chercher... me tuer ! Je ne peux pas rester ici, je dois m'en aller tout de suite, peut-être était-il tout près de la maison ? Oh putain, c'est horrible, je... je dois aller à la police... je dois partir d'ici... il faut que je prévienne la police !

Sur ce, Stéphanie bondit de sur son lit, et se précipita à toute allure hors de la maison. Elle courrait vers le commissariat de la ville, qui n'était qu'à cinq minutes de sa maison.



Mais elle n'arriva jamais au commissariat.

On l'enterra une semaine plus tard, deux jours après avoir retrouvé son corps, ainsi que celui de la mendiante que Cédric avait battu à mort.

Dernière modification par fafa125 (Le 15-03-2014 à 14h48)

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#1002 Le 15-03-2014 à 15h45

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J'en ai une c'est la poupée tueuse :
Un beau jour une petite fille demanda a son père de lui acheter une poupée celle qu'elle voulais avais une main en l'air et pleurais presque ! Son père ne comprenais pas pourquoi il y en avais une comme ça . La boite de la poupée avais un cadenas et une clé parce qu'il ne fallait pas la laisser ouverte la nuit .
La petite n'y croyais pas donc elle pris la poupée avec elle ... Le lendemain on la retrouva avec des grosses traces de couteau dans le torse, a ce moment là la poupée avais 1 doigt en l'air et affichait un air moins triste. Le frère de la petite fille pris la poupée avec lui et fit égorgé, puis ce fit le tour de sa mère, la poupée affichait un air de plus en plus sadique. Le père pris alors la poupée avec lui et lutta contre elle, il là tua mais mourra juste après. Le commissariat retrouva la poupée avec ses 4 doigts en l'air (parce que la poupée avait 4 doigts sur chaque main) et avec un air très très très sadique ! La police ne comprena jamais ce qu'il s'était passé ...
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#1003 Le 02-04-2014 à 23h51

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Dans le film American Haunting , quand la jeune fille se met à monter dans les airs et se faire frapper par une force maléfique et que tout vole autour bouuuuh j'en ai eu des frissons !!! un film à voir pour les amateurs de films d'horreur !

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#1004 Le 03-04-2014 à 19h41

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nana74150 a écrit :

J'en ai une c'est la poupée tueuse :
Un beau jour une petite fille demanda a son père de lui acheter une poupée celle qu'elle voulais avais une main en l'air et pleurais presque ! Son père ne comprenais pas pourquoi il y en avais une comme ça . La boite de la poupée avais un cadenas et une clé parce qu'il ne fallait pas la laisser ouverte la nuit .
La petite n'y croyais pas donc elle pris la poupée avec elle ... Le lendemain on la retrouva avec des grosses traces de couteau dans le torse, a ce moment là la poupée avais 1 doigt en l'air et affichait un air moins triste. Le frère de la petite fille pris la poupée avec lui et fit égorgé, puis ce fit le tour de sa mère, la poupée affichait un air de plus en plus sadique. Le père pris alors la poupée avec lui et lutta contre elle, il là tua mais mourra juste après. Le commissariat retrouva la poupée avec ses 4 doigts en l'air (parce que la poupée avait 4 doigts sur chaque main) et avec un air très très très sadique ! La police ne comprena jamais ce qu'il s'était passé ...
Des avis ?

C'est un peu pareil mais différent /library/php/forum/views/smilies/smile.png

C'est l'histoire d'une petite fille qui allât s'acheter une poupée et le vendeur lui dit ne la prend pas elle est dangereuse,la petite fille rigolât et l'acheta
La première nuit elle la laissa dans la cuisine dans sa boîte un peu ouverte et quand la fille se coucha elle entendit 1,2,3je descend de la chaise
4,5,6 je vais dans le couloir
7,8,9je monte l'escalier
La petite fille eut peur mais resta dans sa chambre elle s'endormit après 5min elle entendit
10,11,12je suis devant ta chambre
13,14,15 JE SUIS LA !!!!!!

Quand mon amie me l'a raconter comme a 13,14,15 et la dit fort elle ma pris les épaules ma djt JE SUIS LA !!!
Je vous conseil de le faire !!!

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#1005 Le 23-04-2014 à 15h09

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J en ai une
Une petite fille qui s appelle Sophie et qui vit seul avec sa maman divorcé et qui regarder souvent la télé un jour en rentrant de l école alla s insttaler devant la télé et
regarda son émission préférer . au bout de une heure vit une main toute brulé sortir de la télé pour l'attrapper elle hurla MAMAN ¡!!!!!!!! la mère affolé arriva paniqué et dit
quesqu il y a  et Sophie dit il y une main dans la télé qui veut l'attraper ! et la mère dit
Sophie mais c ridicule tient je regarde devant la télé il n y a pas de main et derrière non Sophie se dit que elle avez du être un peu fatigué et des jours plus tard alla se
coucher et commença a s'endormir quand elle sentit une chose sur son cou et elle dit
arrête minou (car elles avez un chat) quand elle ouvrir les yeux elle vit la main sur son
cou et comme la mère était très fatiguer elle n'entendit pas le petit hurlement de Sophie . Le lendemain elle prépara le déjeuner de Sophie et hulra son nom comme elle ne répondez pas elle alla dans sa chambre elle été vide .

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#1006 Le 26-04-2014 à 13h48

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bonjour je connait un film qui s appelle :farm house
c est l histoire d un couple qui part de leurs ville .Ils ont un accident dans un champs et voiient une ferme il vont voir les habitant de la maison pour leurs demender de les ebérger .Ils les invitent il mange et le couple va de coucher .dans la nuit il entende des bruits le papa va en bas pour voir de qui de passe ,leurs ébergeur ( marie et siril)sont en bas et il prennent le papa en otage la maman déscend et ils la mete la tête dans l eau. Après il le torture pendant 2h la maman de reveille .Elle s enfuit  ,siril la suit dans le jardin prend leurs jardinier muet et compte jusqua 3 .A 3 il arache un oeuil au jardinier la maman vient et dit dareter siril lui coupe le coup au jardinier et fait croire a marie (sa femme) que c est la maman qui la tuer du coup marie tue le papa est torture la maman....
           
                            MAIS.......



/static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif THE END /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

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#1007 Le 27-04-2014 à 17h28

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J'en connais une aussi, mais plus qu'une simple histoire, c'est une légende urbaine!
Bloody Mary!

Dans cette légende on ignore qui était vraiment la défunte femme ou fille qui se nomme Mary, plusieurs versions existes disant que Mary était une femme qui a été trompée par son mari, une autre version dit que Mary était une femme qui aurait perdu son enfant, dans ces 2 versions cette femme aurait alors par chagrin et désespoir, mis fin à ses jours devant un miroir.
La dernière version, mais la plus terrifiante, dit que Mary était la fille d'un docteur, un jour elle serait tombé malade, d'une maladie incurrable. Elle sombra dans un profond coma. Son père décida de l'enterrer vivante avec une corde attachée a son poignet la reliant à une cloche au cas ou elle se réveillerait. Sa mère inquiète resta auprès du cercueil pour être là si la cloche vient à sonner, mais son père ramena sa femme de force et abandonna le cercueil pensant qu'il n'y avait plus rien à faire. Le lendemain il alla voir la tombe de sa fille mais, il vit que la cloche était à terre, il s'empressa de déterrer le cercueil de Mary. Lorsqu'il l'ouvrit il vit que les mains de Mary étaient ensanglantées à force de gratter la paroi qui refermait le cercueil. Mary était morte de la main de son père.
Aujourd'hui, l'âme de Mary rôde sur terre en fantôme et voyage de miroir en miroir, cherchant à punir quiconque l'appelerait.
Vous serez prévenu!
Ainsi, la légende dit que si vous dites 3 fois "Bloody Mary" devant un miroir, la terrifiante Mary apparaitra dans le miroir ou dans tout autre objet ayant un reflet (TV, métal, verre, etc) et vous arrachera les yeux, vous mourrerez en vous vidant de votre sang!
...
Terrifiant! Je n'ais jamais osé essayer!

Dernière modification par Netzach (Le 27-04-2014 à 17h52)

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#1008 Le 27-04-2014 à 20h09

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Une jeune fille qui économisait pour l’université commence à surveiller la maison d’un voisin en échange de rémunération. Le voisin, un docteur, lui demande d’arriver à 19 h. Une heure après être arrivée à la maison, elle reçoit un appel téléphonique.

L’homme au bout du fil lui dit que si elle ne sort pas de la maison, il la tuera.

Elle raccroche et regarde sur l’afficheur, mais la personne qui téléphone utilise une ligne privée.

30 minutes plus tard, un autre appel : « Si tu ne sors pas bientôt de la maison je te tuerai », déclare l’homme à la voix rauque au bout du fil. La jeune fille raccroche et appelle la téléphoniste. Cette dernière suggère de garder l’homme en ligne environ une minute pour qu’elle puisse retracer l’appel.

L’homme rappelle après 30 minutes et la gardienne parvient à le garder en ligne. Il lui répète de sortir de la maison maintenant ou il la tuera. La téléphoniste rappelle aussitôt pour sommer l’étudiante de sortir de la maison le plus rapidement possible. L’appel provient de la deuxième ligne de la maison, celle du deuxième étage. L’assassin se trouve dans la maison…

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#1009 Le 10-05-2014 à 18h49

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Alors, c'est l'histoire d'une famille qui habitait dans une maison. Il y avait les parents et deux enfants dont une fille et un garçon. Un soir les parents décident de sortir dans un restaurant en famille mais la fille refusa en disant qu'elle ne pouvait pas sortir qu'elle voulais se reposer. Une fois les parents et le garçon Tom (j'ai inventer le prénom) sorti, la fille monta dans sa chambre et alluma son ordi. Au bout d'une demi-heure passer seule elle entenda des bruits de pas, elle a décidé de descendre, elle cru que c'était son frère et elle dit:"Tom je sais que c'est toi arrête d'essayer de me faire peur!... Bon si c'est comme ça je remonte!" Elle remonta dans sa chambre et continua son occupation. Ensuite elle eu soif et elle descendit pour boire un verre d'eau entrant dans la cuisine elle prit un verre dans ses mains et la elle vu un couteau qui bougea tout seul prise de peur elle jeta son verre d'eau et couru dans sa chambre et elle se cacha sous son bureau elle prit son fixe et composa le numéro de sa mère. Là elle vu la porte de sa chambre s'ouvrir tout doucement et en même temps sa mère décrocha et là, la seule chose qu'elle entendit c'est sa fille crier. La mère et les autres se précipitèrent chez eux et en entrant dans la chambre ils ont vu le miroir rempli de sang, casser et leur fille par terre en sang et le crâne ouvert !

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#1010 Le 11-05-2014 à 14h16

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mimi-rongeur a écrit :

milly': oui je la connait je l'ai vu sur internet!

voici une histoire(tres longue desoler /library/php/forum/views/smilies/hmm.png ):
Stéphanie ferma la porte d’entrée et remit ses clefs dans sa poche. Elle se retourna et observa quelques instants le couloir vide devant elle : Ils n’étaient pas rentrés. Ses parents avaient voulu passer le samedi soir « entre eux » à l’extérieur, et l’avaient prévenu qu’ils rentreraient tard. Elle en déduit qu’ils ne devraient pas revenir de si tôt : Il n’était que vingt-deux heures trente.
     Stéphanie regardait avec regret cette maison vide, elle s’était imaginé que sa soirée durerait un peu longtemps : Le cinéma avec Cédric c’était bien… mais elle aurait voulu passer plus de temps avec lui. Elle l’avait rencontré deux semaines auparavant lors de la fête qu’elle avait organisée pour ses dix-sept ans : Il lui avait bien tapé dans l’œil, et visiblement cela était réciproque… même si ce soir il n’avait pas insisté pour rester un peu plus avec elle.

     Ne sachant trop quoi faire, elle monta clopin-clopant l’escalier : De toute façon j’en passerai d’autres soirées avec lui… la prochaine fois je lui demanderai d’aller boire un verre… rrahhh ! c’est dommage, pour une fois que je n’avais pas les parents sur le dos !
     Arrivée dans sa chambre, elle repoussa la porte de la main, pendant qu’elle se refermait, elle envoya sa veste sur le dossier de sa chaise, et se laissa tomber sur son lit, allongée sur le dos. Le claquement de porte fit alors place au silence : Elle regardait le plafond, occupée à se remémorer la soirée, à se demander ce qu’elle ferait demain, à penser à ses prochains rendez-vous avec Cédric ou ses copines... sûrement qu’on l’appellerait demain pour passer le dimanche après midi à quelque chose de mieux que de rester enfermé à la maison… Au fait, on l’avait appelée ce soir ? Elle s’assit sur son lit, saisit le bas de son blouson, fouilla dans une des poches et en sortit son téléphone portable.

     Ah oui ! il est éteint. Je l’avais coupé au début de la séance de cinéma… j’ai oublié de le rallumer tout à l’heure. Bah ! c’est pas important, de toute façon personne n’a dû m’appeler ce soir… elles doivent être toutes à s’amuser... elles… et moi qui suis là toute seule... pfff... Ah, si ! J’ai eu des messages sur mon répondeur… hein ? huit ? Ben ça fait beaucoup quand même ! On cherche sûrement à m’appeler depuis tout à l’heure… hé, peut-être que je ne vais pas croupir ici ce soir finalement ! Fébrile à l’idée d’aller retrouver ce soir ses amies, elle appela sans attendre sa boîte vocale.

« Veuillez composer votre code secret puis tapez dièse.
...
Vous avez... HUIT… nouveaux messages »
     Elle avait donc bien eu huit messages, au moins là elle en était sûre, mais qui donc aurait bien pu l’appeler huit fois ce soir ?
     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT CINQ… MINUTES…
     - Quoi ! » s’étonna Stéphanie, stupéfaite. Elle regarda sans attendre sa montre pour s’assurer qu’elle ne se trompait pas sur l’heure : Il était vingt-deux heures trente-quatre.
     Bon dieu, huit appels en neuf minutes ! C’est insensé, pourquoi on chercherait autant à me joindre… à moins que… j’espère qu’il n’est rien arrivé de grave… Ce serait terrible si…
     Elle fut interrompue dans sa réflexion par le message qui commençait.

     Au début elle se demanda si son téléphone fonctionnait correctement, mais il marchait puisqu’elle venait d’entendre distinctement la voix de la boîte vocale. Le son était étrange, comme un froissement de linge au vent suivit d’un bruit sourd, le son se répétait, régulier… comme le bruit d’une machine à laver, comme un tourne disque arrivé à la fin du quarante cinq tour. Le son paraissait si froid, si répétitif « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM ». Pendant les premières secondes, elle ne trouvait pas de quel son il pouvait s’agir, puis le bruit d’une voiture lui fit comprendre qu’on l’appelait de la rue. Du même coup tout lui parut évident : On l’appelait par erreur ! Le portable devait être dans la poche, le clavier n’était pas verrouillé, et l’appui des touches avait finit par appeler un numéro du répertoire du téléphone… et c’était tombé sur elle.
     Amusée, elle se prit à écouter le message : toujours ce bruit mécanique, répétitif, le son des voitures, et aussi celui du vent : C’est vrai qu’il ne faisait pas très beau en ce soir d’octobre, et en sortant du cinéma le vent commençait déjà à souffler. Le son en était ici assez angoissant, comme une longue plainte fantomatique, un « oooooouuuuuuuhhhhhhh » qui lui rappelait les soirs de grand vent pendant lesquels ce dernier émettait sa complainte par le foyer de la cheminée du salon.

     « Fin du message »
     Le brusque retour à la voix de la boîte vocale la surprit. Le message s’était coupé d’un coup, sûrement dû à un nouvel appui accidentel sur la touche d’appel. Ce ne fut pas la brutalité du passage qui la surpris, mais plutôt le fait d’entendre cette voix féminine, calme et posée, qui contrastait tellement avec le bruit mécanique de la marche, mêlé à celui des voitures, et du souffle du vent sur le micro du téléphone. Elle ne s’en était pas rendu compte lors de l’écoute du message, mais ce son était au fond assez sinistre.
     « Tapez 2 pour effacer, 3 pour réécouter.
     ...
     Effacer ».

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT SEPT… MINUTES… »
     Le message était quasi identique au premier : Toujours ce bruit, répétitif, monotone, qui devenait pour elle un peu angoissant, plus pesant que précédemment.
     Et puis il va y en avoir encore six comme ça ?... Eh bien... Super ! Mais de qui ça provient ? Qui c’est qui m’appèle à la fin ? Voulant passer au prochain message pour que la boîte vocale lui fournisse le numéro de l’appelant, et ayant assez entendu ce bruit, elle coupa le message sans attendre.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT HUIT… MINUTES… »
     Mais la boîte ne donnait pas de numéro, elle aurait dû formuler normalement un « message provenant du ... ». Elle se rappela que sur les deux premier messages on ne lui avait pas signalé le numéro. Elle en déduisit que l’appelant avait sûrement choisi que son numéro soit masqué aux personnes qu’il appelait : Sur le portable de Stéphanie le message « numéro privé » s’affichait quand une personne ayant cette option lui téléphonait. Elle fouilla dans sa mémoire pour trouver qui elle connaissait dans ce cas-là. A peine elle avait commencé à réfléchir que le message débutait, et le son lancinant reprenait. Un peu plus à chaque fois, il intensifiait en elle un certain malaise.
     Le son répétitif s’arrêta. Le hululement du vent prenait plus d’importance en l’absence du bruit assommant produit par la marche, elle entendait toujours les voitures passer. La personne était toujours dans la rue et venait de s’arrêter, elle n’entendait plus rien d’autre que le vent et les voitures. Que fait-il ? Ou bien que fait-elle ? pensait Stéphanie. Il est peut être en train de regarder quelque chose ? de s’arrêter pour allumer une cigarette ? ou alors juste pour prendre un peu le temps de flâner ? Tout cela la rendait de plus en plus curieuse… en même temps elle ne se sentait pas très bien, gênée d’entendre une autre personne à son insu, et aussi tout simplement parce que le bruit de la marche à travers le micro du téléphone dans la poche était sinistre !
     Puis le désagréable son de marche reprit et commençait franchement à l’apeurer : « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… ». Elle continuait d’écouter le message, le bruit des voitures semblait diminuer : Est ce qu’il rentrait dans un lotissement ? est ce qu’il allait dans une plus petite rue ? Finalement tracassée par ce côté « voyeur malgré elle », elle coupa le message et passa au suivant.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE… MINUTES… »
     Le message était toujours le même : toujours ce bruit répétitif et morne. Mais elle n’entendait plus le bruit des voitures, la personne devait sûrement s’être engagée dans une petite rue. Agacée par le son, elle coupa le message.
     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEUR...
     BIP BIP... BIP BIP»
     Surprise par le son elle mis le téléphone face à elle : Comme le signal sonore l’avait indiqué, elle venait de recevoir un message... La personne continuait à l’appeler par erreur.

     Elle remit le téléphone à son oreille, et fut surprise d’entendre assez distinctement le miaulement d’un chat. Elle n’entendait toujours aucun bruit de voiture, juste le bruit et le vent. Puis, le son se transforma quelque peu, elle percevait comme un écho, la personne était peut-être dans une cour, ou dans une petite ruelle étriquée. Le bruit répétitif se fit de plus en plus lent, puis s’arrêta, c’est alors qu’à sa grande surprise elle entendit des gémissements. Ces derniers étaient plutôt faibles, mais elle en était sûre, elle entendait quelqu’un gémir au loin, c’était une voix féminine, mais elle avait du mal à l’entendre. Encore plus que les pas, ces gémissements la mettaient mal à l’aise.
     Le bruit de la marche reprit, mais lentement. Le volume des gémissements augmentait : Il ou elle s’approche d’elle… est ce qu’elle est malade ? pourquoi elle gémit comme ça ? peut-être il ou elle est de sa famille ? Stéphanie s’embrouillait dans toutes ces interrogations… Elle avait peur, de plus en plus peur de ce qu’elle entendait, mais tout cela l’hypnotisait, elle voulait suffisamment savoir ce qui allait se passer pour ne pas raccrocher.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE ET UNE… MINUTES… »
     Le vent soufflait toujours, les pas avaient cessé, les gémissements continuaient, ils étaient très forts maintenant : Stéphanie en déduit qu’il ou elle devait se tenir devant la femme. Etait-ce sa mère ? peut-être que oui… ou peut être que non, elle ne savait plus très bien. Elle se sentait fébrile et à la fois mal à l’aise d’écouter tout cela à leur insu.
     Elle fut vraiment inquiète quand les gémissements firent place à des pleurs : Elle entendait distinctement la femme pleurer, à l’oreille elle aurait dit que la femme devait être assez âgée, dans la cinquantaine peut être. Mais  pourquoi se mettait elle à pleurer ? Stéphanie serrait le téléphone à son oreille en tremblant : son bras, son corps frémissait, elle se sentait mal… elle avait peur de ce quelle entendait : Le son du vent, les pleurs, et auparavant le son des pas l’avait fait plonger petit à petit du trouble vers l’effroi. Mais elle ne voulait pas raccrocher, elle voulait savoir, elle voulait entendre la suite.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE TROIS… MINUTES… »
     Les pleurs redoublaient, elle avait de plus en plus de mal à continuer d’entendre cela. Brusquement un bruit effréné de frottements se fit entendre avec force, ils furent très vite accompagnés de bruits secs et sourds. Ce fut surtout les cris de la femme qui terrorisèrent Stéphanie. Elle hurlait, elle souffrait… le bruit sourd qu’elle entendait maintenant, elle le compris vite, était assurément le bruit des coups qu’il ou elle infligeait à la vieille femme.
     Stéphanie était pétrifiée par ce quelle écoutait et ce qu’elle pouvait en conclure. Elle restait assise sur son lit, ne sachant que faire, tout se mélangeait dans sa tête, tout cela était tellement inconcevable : Elle était en train d’entendre, avec une poignée de minutes de retard, quelqu’un battre furieusement une vieille femme. Complètement paniquée, elle coupa le message.

     « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE QUATRE… MINUTES… »
     Ca n’en finira jamais ! se disait elle en entendant l’annonce du prochain message. Elle faillit éteindre son téléphone, mais elle ne le fit pas… peut-être pouvait-elle en apprendre plus ? peut-être qu’elle pourrait intervenir ? … elle ne pouvait se résoudre à raccrocher, elle ne le pouvait pas… elle ne le voulait pas.
     Rien que le début du message la pétrifia de nouveau : les frottements bruissaient toujours autant, les cris de la femme avaient fait place à des gémissements, le son des coups continuait à retentir… Elle entendait l’agresseur émettre de petits geignements, sûrement dus à l’effort monstrueux et infâme qu’il déployait : C’était la voix d’un homme… mais elle entendait encore mal le son. Ce fut progressivement que le sombre nuage de la terreur envahi Stéphanie à mesure que les bruits de la femme s’estompaient, et que les geignements de l’agresseur faisaient place à des mugissements de plus en plus forts… Progressivement elle reconnut avec effroi la voix de Cédric. Elle se rappela avoir eu des appels de lui : son numéro ne s’affichait pas sur son téléphone. Elle s’en souvenait bien car elle s’était dit qu’elle ne pourrait pas savoir quand il l’appellerai avant de décrocher. Son petit ami était donc assurément en train de battre une femme quelque part, peut-être qu’il la battait à mort… il la battait à mort : On entendait plus la voix de la femme, plus que les beuglements de Cédric et le bruit de ses coups sur le corps de la femme. Terrifiée, Stéphanie raccrocha, elle ne voulait plus entendre tous ces messages, tout cela était trop horrible, trop abominable, tout cela n’était pas possible, elle avait dû mal comprendre.

     La sonnerie de son téléphone, pourtant guillerette, la terrifia quand elle se déclencha. Elle était plongée dans ses tourments, ne sachant ni que penser ni que faire. La sonnerie de son téléphone lui fit l’effet d’une décharge électrique à travers le corps. Lentement elle ramena son portable devant ses yeux, sur l’écran, elle n’en était pas surprise, était indiqué « numéro privé ». Elle attendit une sonnerie, puis deux, elle était épouvantée. Puis presque impulsivement elle appuya sur la touche pour décrocher et colla promptement le téléphone à son oreille : Elle n’entendait plus de coups, elle entendait juste un bruit régulier de frottement, c’était tout… Stéphanie pleurait, elle imaginait la pauvre femme à moitié morte, Cédric la traînant par les pieds… Cette image dans sa tête lui était insoutenable, surtout accompagnée de ce sinistre son de frottement.
     Soudain, un grand choc se fit entendre, le volume en était si fort qu’il lui fit mal à l’oreille, et ajouté à l’effet de surprise, elle en décolla quelque temps l’appareil. Quand elle le rapprocha de nouveau, le seul son qu’elle entendit était celui du vent, bien plus fort que précédemment.
     Subitement elle entendit comme un grondement sourd mêlé de fracas. Puis d’un coup, elle entendit très distinctement de la voix de Cédric :
     « Stéphanie ? ».
     Prise par surprise, elle ne put réprimer un petit cri d’étonnement.
     « Putain Stéphanie ? Bon Dieu, qu’est ce que tu fais en ligne, merde ! MERDE ! MER ».
     Complètement abasourdie et terrorisée elle raccrocha aussitôt et éteignit son téléphone.

     Il m’a entendu crier ! mon dieu, il sait que j’ai entendu… A l’aide, pitié ! Qu’est ce que je peux faire ? Il va peut-être venir ici me chercher… me tuer ! Je ne peux pas rester ici, je dois m’en aller tout de suite, peut-être était-il tout près de la maison ? Oh putain, c’est horrible, je… je dois aller à la police… je dois partir d’ici… il faut que je prévienne la police !
     Sur ce, Stéphanie bondit de sur son lit, et se précipita à toute allure hors de la maison. Elle courrait vers le commissariat de la ville, qui n’était qu’à cinq minutes de sa maison.

     Mais elle n’arriva jamais au commissariat.
     On l’enterra une semaine plus tard, deux jours après avoir retrouvé son corps, ainsi que celui de la mendiante que Cédric avait battu à mort.

Ouuaaa ton histoire est longue mais j'arrivais pas à décoller mes yeux il fallait absolument que je sache la fin, et franchement ton histoire elle fait des frissons !

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#1011 Le 11-05-2014 à 14h34

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OLD-FLOetGRI-1 a écrit :

mezou a écrit :

Clem-et-Ivoir a écrit :


0ui bien sûr c'est interdit d'enterrer des corps Humains dans son jardins que de petits animaux. Pfff nan mais franchement t'as des gens ils réfléchissent pas. En plus, tout les villages ont un cimetière.

Je dois dire que Clem-et-Ivoir a raison, il est interdit d'enterrer des humains dans son jardin, et même les animaux, il y a des conditions à respecter et tout les villages on un cimetière ... /library/php/forum/views/smilies/hmm.png

Oui attends ont n'enterre pas quelqu'un comme ça dans son jardin /library/php/forum/views/smilies/hmm.png

Ils sont malade eux, ils ont cru ils ont enterré un chien ? /static/images/forum/smilies/ham-09.gif

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#1012 Le 14-05-2014 à 14h22

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Histoire banale....Je me suis retrouvée alone dans le noir chez moi pendant un orage Mais j'ai quand meme eu la peure de ma vie!!!!! /static/images/forum/smilies/ham-mdr.gif

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#1013 Le 29-05-2014 à 20h55

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Just-a-dream a écrit :

Une jeune fille qui économisait pour l’université commence à surveiller la maison d’un voisin en échange de rémunération. Le voisin, un docteur, lui demande d’arriver à 19 h. Une heure après être arrivée à la maison, elle reçoit un appel téléphonique.

L’homme au bout du fil lui dit que si elle ne sort pas de la maison, il la tuera.

Elle raccroche et regarde sur l’afficheur, mais la personne qui téléphone utilise une ligne privée.

30 minutes plus tard, un autre appel : « Si tu ne sors pas bientôt de la maison je te tuerai », déclare l’homme à la voix rauque au bout du fil. La jeune fille raccroche et appelle la téléphoniste. Cette dernière suggère de garder l’homme en ligne environ une minute pour qu’elle puisse retracer l’appel.

L’homme rappelle après 30 minutes et la gardienne parvient à le garder en ligne. Il lui répète de sortir de la maison maintenant ou il la tuera. La téléphoniste rappelle aussitôt pour sommer l’étudiante de sortir de la maison le plus rapidement possible. L’appel provient de la deuxième ligne de la maison, celle du deuxième étage. L’assassin se trouve dans la maison…

Je connais cette histoire !! C'est tiré d'un film, non ?

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#1014 Le 18-07-2014 à 11h14

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Dernière modification par Ilania (Le 19-07-2014 à 14h29)

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#1015 Le 18-07-2014 à 11h27

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C'est l'histoire d'une mère et son fils qui habiter dans une maison a coter du cimetière.
La maman le soir demanda a son fils d'aller chercher de l'eau pour la soupe, le garçons alla chercher de l'eau au puis de l'autre côté du cimetière.
Le garçons commença a rentré dans le cimetière, quand tout d'un coup il entend: "Je veut ta jambe".
Le garçons se dit qu'il rêve mais il en tendit de nouveau "Je veut ta jambe".
Le garçons vu une main sortir de terre il avait tellement peur qu'il couru jusqu'au puis il prit de l'eau et repartit dans le cimetière plus effrayer que jamais.
Et il entend de nouveau "Je veut ta jambe" et la un mort sortit de sa tombe et il dit encore "Je vaut ta jambe" Le garçons dit: Mais mais la quelle.....
Le mort vivent dit Celle la et lui arracha la jambe et le petit garçons n'avaient plus qu'une jambe et rentra chez lui avec l'eau et une seule jambe. Fin.

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#1016 Le 22-07-2014 à 22h17

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Bonsoir /library/php/forum/views/smilies/smile.png

Je vais vous parler d'une histoire qui inspira le film d'épouvante '' Conjuring:Les dossiers Warren.

Ed et Lorraine Warren sont des enquêteurs du paranormal trés connus en Amérique. En effet ils ont participé à l'exoscisme trés connu de la maison d'Amityville , et de pleins d'autres histoires similaires et aussi connues.
Le film sorti en 2013 s'inspire des écrits des Warren concernant l'investigation sur l'histoire terrifiante de la famille Perron

En 1970, Roger Perron et son épouse Carolyn décidèrent d’acheter une vieille maison à Harrisville, dans le Rhode Island.  elle était constituée d’une ancienne ferme de 10 pièces, construite en 1736, et d’une grande grange. C’était exactement l’endroit dont rêvaient Roger et Carolyn, une grande maison à la campagne où leurs cinq filles, Andrea, Nancy, Christine, Cindy et Avril, pourraient s’épanouir et grandir en toute liberté aussi étaient-ils particulièrement enthousiastes le jour de leur aménagement. Cependant, le conseil que leur donna l’ancien propriétaire alors qu’ils déballaient les meubles les laissa perplexes:  » Laissez les lumières allumées la nuit « . L’homme ne leur dit rien de plus, mais les membres de la famille Perron n’allaient pas tarder à découvrir la raison de cet avertissement.

Si ces mots leur avaient permis de comprendre que quelque chose n’était pas normal le jour même de leur arrivée, ce ne fut qu’en 1971 que les premières entités surnaturelles commencèrent véritablement à se manifester. Ils découvrirent alors que de nombreux esprits hantaient la vieille ferme. Au début, les fantômes, ou les esprits démoniaques comme l’affirmeront plus tard Edward et Lorraine Warren, semblaient inoffensifs.En effet l'un des esprit laissait une odeur de fleur derrière lui,un petit garçon faisait rouler des petites voitures,un autre que la famille adorait, il l'avait d'ailleur surnommé Manny regardait les enfants joués avec un sourire en coin.
De plus la famille était aussi témoin de phénomène télékinétiques comme les lits qui se soulevaient de quelque centimètre.

Ces manifestation pouvais paraître pacifique, mais il y en avait aussi des plus angoissante. Comme le fantôme d'une petite fille qui criait sans cesse ''Maman!,mamannn!''.Tandis qu'une autre torturait la petite Cyndi de 8 ans en lui disant:'' Il y a sept soldats morts enterrés dans le mur". Andrea Perron, qui écrivit un livre sur les événements, House of Darkness House of Light: The True Story, laissa entendre qu’un esprit particulièrement maléfique avait agressé certaines des petites filles. Interrogée quand à la nature des agressions, elle éluda la question en répondant au journaliste:"Disons qu’il y avait un très mauvais esprit masculin dans la maison… avec cinq petites filles".Aucun membre de la famille ne voulut jamais en parler.

Mais la plus malveillante créature de la maison semblait s’acharner sur Carolyn Perron. On pensait qu’elle était le fantôme de Bathsheba Sherman, une femme soupçonnée de sorcellerie qui avait vécu au début du 19e siècle et qui avait mis fin à ses jours en se pendant à un arbre derrière la grange.Elle était femme au foyer et son mari Judson travaillait comme agriculteur sur leurs terres, non loin de la ferme des Perron. De son vivant, Bathsheba avait connu une vie de solitude. Elle était devenue une paria de la société après avoir été accusée du meurtre sur son bébé. Le corps de l’enfant avait été retrouvé avec une grande aiguille plantée à la base de son crane et Bathsheba avait été accusée de l’avoir sacrifié à Satan.
Faute de preuves, l’affaire avait été abandonnée. Bathsheba était également soupçonnée d’avoir eu trois autres enfants dont aucun n’aurait dépassé l’age de quatre ans. De plus, si l’on en croit les légendes locales, ses enfants n’étaient peut-être ses seules victimes. Bathsheba aurait brutalisé ses serviteurs, elle les aurait affamés et battus pour des erreurs sans importance. Quand elle mourut, le 25 mai 1885, quatre ans après son mari, le coroner écrivit qu’il n’avait jamais rien vu de semblable. Son corps avait l’air étrangement figé, on aurait dit qu’il s’était transformé en pierre.
Le fantôme de Bathsheba était particulièrement hideux. Son visage était semblable à une ruche d’abeille desséchée recouvert de toiles d’araignée, il ne possédait pas de véritables traits humains et de la vermine rampait dans les crevasses gravées sur sa peau ridée. Sa tête était ronde et grisâtre, et elle penchait d’un coté comme si son cou avait été brisé. L’odeur du mal flottait dans la pièce où il apparaissait.
Bathsheba avait ses préférences si elle détestait Carolyn Perron au plus au point, elle semblait être sous le charme de son mari Roger, en effet quand celui se rendait à la cave pour réparer le chauffage qui tombait souvent en panne, il sentait une odeur de mort et le froid emplissait la piéce, puis Bathsheba lui caressait le cou et laissait aller ses doigts sur son dos. Bathsheba voulais voir Carolyn partir, au début elle la pinçait, la giflait. Mais avec le temps ses attaques se firent plus agressives.Un jour, Carolyn était allongée sur le canapé quand elle sentit soudain une vive douleur au mollet. Lorsqu’elle examina sa jambe, elle aperçut une trace de sang, comme celle laissée par une piqure. Plus tard, dans son livre, Andrea Perron allait décrire la blessure comme un cercle parfaitement concentrique  "C’était comme si une grosse aiguille à coudre avait été plantée sa peau".

Dans les années 70 Edward et Lorraine Warren étaient déjà célèbres et ils étaient considérés comme de véritables enquêteurs du surnaturel. Pendant des décennies ils avaient enquêté sur des phénomènes de hantises et de possessions démoniaques à travers tous le pays et dans un certain nombre d’affaires, ils avaient réussi même à convaincre le Vatican d’exorciser certains des esprits qu’ils avaient découverts.Selon les Warren, Bathsheba, la sorcière, avait assassiné sa plus jeune fille en sacrifice à Lucifer, puis elle avait suivi d’obscurs rituels avant de se pendre, espérant ainsi demeurer éternellement sur les lieux pour les hanter. Elle avait également maudit quiconque vivrait sur la propriété et l’efficacité de cette malédiction pouvait se vérifier à travers les nombreuses tragédies qui s’étaient déroulées après sa disparition. Dans le Livre noir de Burrillville, l’ancien livre des dossiers publics de la ville, on pouvait relever deux suicides par pendaison, un suicide par le poison, le viol et l’assassinat d’une fillette de onze ans, deux noyades dans un ruisseau près de la maison, quatre hommes mystérieusement morts de froid ainsi que la pendaison d’une vieille femme de 93 ans aux chevrons de la grange.Les Perron n’étaient pas vraiment croyants et la faiblesse de leur foi fut la plus grosse préoccupation de Lorrain Warren lorsqu’elle eut à s’occuper de cette affaire de hantise. Elle était persuadée que si l’esprit de la sorcière pouvait se déchainer avec tant de violence envers eux, c’était à grâce cette faiblesse.

En 1974, Ed et Lorraine Warren firent de nombreux voyages pour enquêter dans la maison et, selon Lorraine Warren, jamais ils ne tentèrent un exorcisme. Mais une nuit, à l’occasion de l’une de leurs séance, la situation dégénéra brusquement et Carolyn Perron fut possédée par l’esprit de Bathsheba.
Ce soir là, les Warren était arrivés avec beaucoup de monde, dont un prêtre et des techniciens. L’esprit maléfique faisait preuve d’une incroyable puissance et les fillettes étaient terrifiées. Cette nuit-là, Andrea crut que sa mère était en train de mourir:  "Je pensais que j’allais m’évanouir. Ma mère a commencé à parler une langue qui n’était pas de ce monde avec une voix qui n’était pas la sienne. Sa chaise a lévité et elle l’a projetée à travers la pièce.  »Roger Perron, bouleversé, demanda aux Warren de quitter les lieux. Des années plus tard, il en parlera en ces termes:  » Son corps entier était déformé… Et ça a duré plusieurs heures, jusqu’à ce qu’ils en chassent les démons. Ensuite, je les ai mis dehors.  »
L’intervention des Warren avait été un échec et la famille Perron dut se résigner à accepter le fait qu’ils ne vivraient jamais seuls dans cette maison.

Au début du film on peut voir le visage de la terrifiante poupée Annabelle. Annabelle est inspirée d’une vraie poupée, une poupée maléfique à laquelle furent confrontés les enquêteurs du paranormal Ed et Lorrain Warren au cours de l’une de leurs enquêtes.La poupée est maintenant exposée dans une boîte en verre dans la maison des Warren.
Voici  l'URL ou vous pourrez lire l'histoire www.mindshadow.fr/histoire-vraie-annabelle-la-poupee/

courrez voir le film quand on sait que c'est vrai sa fait encore plus flippé  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

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#1017 Le 23-07-2014 à 10h54

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Chucky (histoire remixée par moi

Il était une fille appelée Sara.Elle vivait dans une magnifique demeure et ne manquait de rien.Un jour elle décida d'organiser une soirée pyjamas.Elle avait tout préparer.Elle s'etait vêtue de son plus beau pyjamas,avait attaché sa jolie chevelure blonde avec un jolie noeux rouge et le clou du spectacle son pere lui avait offert une nouvelle poupée rousse aux yeux verts.Mais le père ayant un budget très restreint dû se serrer la ceinture mais trouva par hasard une poupée en bonne etat dans un carton soccisonner de scotch.

Se fut l'heure de dormir.La petite fille serra sa poupée dans ses bras et s-endormie..Vers minuit de petits pats grinçants sur le sol reveillerent une des 3 petites invitées.

《Un,deux,trois je suis devant ta porte》
《Quatre,cinq,six je suis devant ton lit》
《Sept,huit,neuf je suis sur ton lit》
《Dix,onze,douze je vais te tuée !》

Et la petite fille mourrut d'un coup de couteau dans l'abdomen.
Ce fut le meme rituel pour les 3 petites filles qui restait :

《Un,deux,trois je suis devant ta porte》
《Quatre,cinq,six je suis devant ton lit》
《Sept,huit,neuf je suis sur ton lit》
《Dix,onze,douze je vais te tuée !》

Elles mourrurent ainsi......
Le pere au petit matin entra dans leur chambre et resta bouche-bée devant ce massacre. .

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#1018 Le 24-07-2014 à 06h19

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Moi c'est une histoire que j'ai apprise il y a environ 2-3 ans, je ne sais pas si elle est déja écrite mais je vis quand même la raconter...
L'histoire est racontée de manière un peu enfantine, mais je trouve qu'elle fait plus flipper comme ça /library/php/forum/views/smilies/big_smile.png (même carrement enfantine, on dirait que c'est un tout-petit qui l'a écrit, et encore, je l'ai un peu remaniée...)

Elle est un peu bizarre la fille et totalement malade dans sa tête... Enfin je trouve.


C'est l'histoire d'une petite fille qui s'appellait Lilly qui vivait dans un immeuble de 3 étages.
La grand-mère de Lilly meurt et Lilly va faire du camping dans la cour de son immeuble avec le coeur et le foie de feu sa grand-mère(voila pourquoi je trouve que cette fille est malade...)

Et puis Lilly tout a coup elle entend "Lilly rends moi, mon coeur, mon foie, je suis au troisième étage..."
Alors Lilly elle a un peu peur et elle se roule en boule dans sa couette... Mais après, elle entend plus rien donc elle se dit qu'elle s'est fait un film.

Mais après elle entend :
"Lilly rends moi, mon coeur, mon foie je suis au deuxième étage..."
La elle a vraiment la trouille et elle se cache dans sa couette...

Puis elle entend "Lilly rends moi, mon coeur, mon foie, je suis au premier étage..."
La, elle est terrorisée, mais genre vraiment.

Puis elle entend "Lilly rends moi, mon coeur, mon foie, je suis... LA !

(il faut raconter cette histoire tout doucement et limite crier pour le LA !)
Cette histoire, c'était le fléau du centre aéré... Il y a même eu des parents qui ont appelé pour se plaindre que leur enfant ne dormaient pas a cause de cette histoire...
Frenchement, les grands ne terrorisaient pas les petits avec cette histoire, c'est les "petits" qui demandaient qu'on les racontent  /library/php/forum/views/smilies/lol.png
(moi je devait avoir environ 9 ans et j'étais une "grande", les "petits" ils avaient genre 6-7 ans)

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#1019 Le 24-07-2014 à 12h02

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Perla4 a écrit :

Moi c'est une histoire que j'ai apprise il y a environ 2-3 ans, je ne sais pas si elle est déja écrite mais je vis quand même la raconter...
L'histoire est racontée de manière un peu enfantine, mais je trouve qu'elle fait plus flipper comme ça /library/php/forum/views/smilies/big_smile.png (même carrement enfantine, on dirait que c'est un tout-petit qui l'a écrit, et encore, je l'ai un peu remaniée...)

Elle est un peu bizarre la fille et totalement malade dans sa tête... Enfin je trouve.


C'est l'histoire d'une petite fille qui s'appellait Lilly qui vivait dans un immeuble de 3 étages.
La grand-mère de Lilly meurt et Lilly va faire du camping dans la cour de son immeuble avec le coeur et le foie de feu sa grand-mère(voila pourquoi je trouve que cette fille est malade...)

Et puis Lilly tout a coup elle entend "Lilly rends moi, mon coeur, mon foie, je suis au troisième étage..."
Alors Lilly elle a un peu peur et elle se roule en boule dans sa couette... Mais après, elle entend plus rien donc elle se dit qu'elle s'est fait un film.

Mais après elle entend :
"Lilly rends moi, mon coeur, mon foie je suis au deuxième étage..."
La elle a vraiment la trouille et elle se cache dans sa couette...

Puis elle entend "Lilly rends moi, mon coeur, mon foie, je suis au premier étage..."
La, elle est terrorisée, mais genre vraiment.

Puis elle entend "Lilly rends moi, mon coeur, mon foie, je suis... LA !

(il faut raconter cette histoire tout doucement et limite crier pour le LA !)
Cette histoire, c'était le fléau du centre aéré... Il y a même eu des parents qui ont appelé pour se plaindre que leur enfant ne dormaient pas a cause de cette histoire...
Frenchement, les grands ne terrorisaient pas les petits avec cette histoire, c'est les "petits" qui demandaient qu'on les racontent  /library/php/forum/views/smilies/lol.png
(moi je devait avoir environ 9 ans et j'étais une "grande", les "petits" ils avaient genre 6-7 ans)

Je trouve que cette histoire ne fait pas "flipper" et elle n'est pas cohérente : 
de 1) la grand-mère de Lilly meurt et cette dernière décide de faire du ... camping ? O.o c'est pas un peu tirée par les cheveux ? x)
Alors ensuite cette histoire de foie et de cœur... Pourquoi la jeune fille prends les organes de sa défunt grand-mère ????  J'ai pas trop compris le but exacte de cette histoire je pense qu'on pourrais l'améliorer pour donner un meilleur truc car là j'avoue ne rien comprendre...

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#1020 Le 24-07-2014 à 14h08

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Marion0039
The French are so hardcore, they eat pain for breakfast !
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C'est une petite fille qui va
dans un magazin.Elle vois une superbe poupée qui montre le chiffre 2
avec ses doigts.Elle l'achète.Le vendeur lui dit:
"Tu ne devra JAMAIS quitter ta poupée,que tu sois à l'école,dans ton lit ou à table."
Alors,la petite fille appelée Marie-Hélène ne quitte pas sa poupée,qu'ele soit à l'école,dans son lit ou à table.
Or,un
jour,elle decsant (avec sa poupée) dans la cuisine pour boir un verre
de lait.Mais en remontant dans sa chambre se coucher,elle oublie sa
poupée.
C'est alors qu'elle entand:
♪♫Marie-Hélène je monte la pre-mière marche...♪♫
♪♫Marie-Hélène je monte la deu-xième marche...♪♫
♪♫Marie-Hélène je monte la troi-sième marche...♪♫
♪♫Marie-Hélène je monte la qua-trième marche...♪♫
♪♫Marie-Hélène je monte la cin-quième marche...♪♫
♪♫Marie-hélène je suis dans le-couloire...♪♫
♪♫Marie-Hélène j'ouvre la porte de-ta chambre...♪♫
♪♫Marie-Hélène....ROA!!!♪♫(à
Puis,elle égorge la petite fille,et retourne au magazin et ses doigts affichent le chiffre 3...

_____________________________________________________________________
A Noël, un jeune homme nommé Jean  se fait offrir un pantin vert. Il se force à
remercier la personne qui lui a offert. Le pantin, à ce moment là, à un
sourire triste, souvenz-vous en.

Montant dans sa chambre, Jean
enferme le pantin dans le placard et prends le téléphone pour appeler
son ami et l'inviter. Son ami vient, ils jouent ensembles etc... Le
soir, l'ami de Jean va dormir dans la chambre des invités.

Ils s'endorment...

Le
lendemain, Jean se réveille et va réveillé son ami dans la chambre: il
le retrouve, égorgé, une hache à ses côtés. Jean, paniqué, va regarder
dans le placard. Le pantin y est toujours mais il affiche maintenant un
sourire sadique et ses yeux sont rouge. Jean, affolé, attrape le pantin
et va le jeter à la poubelle, à l'autre bout de la ville. Il arrive à
la maison, le soir.

Il s'endort...

Pendant la nuit, il entends une porte s'ouvrir.

"IIIIIIINNNNINNN"
Puis entends des pas réguliers.

"TOP.......TOP......TOP...."

Il ouvre les yeux, mais il est trop tard... Le pantin L'EGORGE.

_____________________________________________________________________
C'est un petit garçon,qui est seul chez lui car ses parents sont partis.Ils lui disent avant de partir:
"Si jamais tu as peur cette nuit,met ta main sous le lit et ton chien te lèchera."
le
soir,avant de se coucher,il entand à la radio qu'un fou s'est échapper
d'un asile,et la radio demande à ce que tous les volets,portes et
fenêtres soient fermés.
C'est ce que fait Paul.
Le soir,il a tellement peur qu'il met sa main sous le lit.Le chien le lèche.
Puis,il entend "plic ploc,plic ploc".
Il remet sa main sous le lit.Le chien le lèche.
Puis,comme il entend encore le bruit "plic ploc,plic ploc" il remet sa main sous le lit,et come d'hab,le chien le lèche.
Après,il a envie d'aller aux toilettes.
Donc,il se lève,va aux toilettes,mais en revenant,il voit son chien égorgé et pendu au plafond.
Le sang qui coule de sa gorge et qui tombe par terre fait "plic ploc plic ploc".
En dessous,il est écrit avec du sang "Il n'y a pas que les chiens qui savent lécher..."

_____________________________________________________________________
C'est des enfants qui sont seuls chez eux.Leur
mère est partie chez leur voisine,et leur à conseiller de ne pas
regarder d'histoire d'horreur,et de tout fermer dans la maison.
Mais une fois la mère partie...ils font la fiesta!ils regardent un film d'horreur,et ne ferme rien du tout.
Dans leur film,il y a un pépé,les doigts en sang,qui égorge les enfants.Ils ont très peur.
Puis,ils
décident d'aller se coucher.C'est alors que l'un d'eux regarde par la
fenêtre et voit au loin un vieillard,qui marche lourdement,la tête
pendante,et du sang coule de ses doigts.
Il prévient ses frères et soeurs et tous ferment la maison et se glissent dans le même lit.
Ils regardent de temps à autres vers la fenêtre.le vieillard se rapproche de leur maison.Ils on horrilement peur.
Puis
ils entendent la sonnette sonner 1 fois.Persopnne ne bouge.2
fois.Toujours personne pour aller ouvrir.3 fois.Jusqu'au moment où l'un
d'eux se décide à ouvrir.
Il arrive devant la porte,ouvre.C'était le vieillard qui disait:
"Je peux avoir des pansements pour mes doigts SVP?Je saigne!"

_____________________________________________________________________

C'est une dame,qui fait la cuisine le soir,et
qui se coupe avec un couteau.Un tâche de sang tombe sur son tapis vers
21h00.Elle essaye de l'enlever mais n'y parvient pas.Après tout,c'est
pas trop grave,se dit-elle.
Elle allume la télé et la télé affiche
"si tu n'efface pas cette tâche de sang avant minuit alors...." et ça coupe.
Soit.Elle frotte encore plus fort,mais la tâche de sang ne part pas.Il est 22h00
Elle allume la radio et entend
"si tu n'efface pas cette tâche de sang avant minuit alors..." et sa re-coupe.
Elle commence à avoir très peur.Il est 23h00,elle frotte toujours très fort en vain.
Puis le téléphone sonne.Elle décroche et entend:
"si tu n'efface pas cette tâche de sang avant minuit alors...." et sa raccroche.Il est 23h30.
Elle a très très peur,a beau frotter mais la tâche ne part pas!
23h59.On sonne à la porte.
DING DONG DING DONG
24h00.Elle se décid à ouvrir.
Elle
ouvre doucement la porte,voit un homme vétue de noir,la capuche sur la
tête,un poignard dans sa main droite,sa main gauche derrière lui et il
dit:
"Si tu n'efface pas cette tâche de sang avant minuit alors..."
Il sort sa main gauche de derrière son dos et continue:
"Utilise monsieur Propre!"

_____________________________________________________________________

Voilà tout mon répèrtoire,de celles qui n'ont pas été citées!
Bon jeu!

Dernière modification par Marion0039 (Le 24-07-2014 à 14h16)

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#1021 Le 25-07-2014 à 00h42

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En fait, l'histoire ne fait pas beaucoup flipper quand on la lit, mais si il y a une personne qui la raconte bien et qui crie pour le "La !" ça fait flipper...
Mais oui, l'histoire est totalement bizarre, faire du camping dans la cour de son immeuble déjà c'est bizarre et en plus, prendre les organes de sa grand-mère... Bref
En fait, l'histoire ne veut rien dire du tout, mais j'ai vu ce topic, j'étais fatiguée et c'est l'une des seules histoires d'horreur que je connais et dans ma fatigue-attitude, je me suis pas rendue compte quelle était pourrie a ce point...
http://us.cdn3.123rf.com/168nwm/arcady31/arcady311106/arcady31110600020/9718593-desole-emoticone.jpg

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#1022 Le 25-07-2014 à 11h53

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Perla' : Même en criant la où il faut sa ne ferrais pas peur...

Sinon Marion' : Tes histoires ne font pas flipper du tout, certaine sont même marrante (la tache de sang, le chien qui doit lécher, le pépé) Mais on connais déjà toute ces histoire à chaque fois que je vais sur ce topic c'est toujours les mêmes histoires !

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#1023 Le 29-07-2014 à 01h46

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Je sais pas si elle a déjà était écrite mais bon :

C'était une femme et son mari qui allait à une fête en campagne,après la fête ils rentrèrent chez eux en voiture.

Ils passèrent par un bois ,la femme écouté la radio qui disait "Faîtes attention un fou c'est échaper de l'asile,nous ne l'avons pas encore attrapé.Il se cache près de la forêt ..."La voiture de la femme et de son mari  se trouvait justement dans cette forêt.

Soudain la voiture tombât en panne,le mari sortit chercher de l'aide,pendant que la femme écouté de la musique.

Une heure après la femme entend un bruit "POUME POUME",sur le toit de la voiture,elle mets la musique plus fort,et le bruit se fait plus fort.

Puis elle vit la police.Elle ouvrit la fenêtre pour écouter se qu'il lui disait il disait "Sorter de la voiture sans vous retourner !"
La femme sort de la voiture mais elle est tellement curieuse quelle se retourne...

et elle voit :UN HOMME TENANT LA TÊTE DE SON MARI QUI FRAPE LE TOIT DE SA VOITURE !!!  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

Ps: excuser moi si il y a des fautes d'orthographe
Ps2: Si cette histoire vous à faît peur j'en connaît d'autre ! /static/images/forum/smilies/ham-10.gif

Dernière modification par Yobie82 (Le 29-07-2014 à 01h55)

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#1024 Le 29-07-2014 à 13h04

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Bonjour,

Moi je suis une grande fan des histoires d'horreur !
Une qui me fais peur c'est : Quand vous voyez un berceau avec un bébé dedans au bord de la route dites à vos parents de ne surtout pas vous arrêter car il peut y avoir des gens qui se cachent, vous attirent avec le bébé et après vous tuent et partent en vous laissant mort... /library/php/forum/views/smilies/hmm.png

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#1025 Le 29-07-2014 à 13h08

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Yobie82 a écrit :

Je sais pas si elle a déjà était écrite mais bon :

C'était une femme et son mari qui allait à une fête en campagne,après la fête ils rentrèrent chez eux en voiture.

Ils passèrent par un bois ,la femme écouté la radio qui disait "Faîtes attention un fou c'est échaper de l'asile,nous ne l'avons pas encore attrapé.Il se cache près de la forêt ..."La voiture de la femme et de son mari  se trouvait justement dans cette forêt.

Soudain la voiture tombât en panne,le mari sortit chercher de l'aide,pendant que la femme écouté de la musique.

Une heure après la femme entend un bruit "POUME POUME",sur le toit de la voiture,elle mets la musique plus fort,et le bruit se fait plus fort.

Puis elle vit la police.Elle ouvrit la fenêtre pour écouter se qu'il lui disait il disait "Sorter de la voiture sans vous retourner !"
La femme sort de la voiture mais elle est tellement curieuse quelle se retourne...

et elle voit :UN HOMME TENANT LA TÊTE DE SON MARI QUI FRAPE LE TOIT DE SA VOITURE !!!  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

Ps: excuser moi si il y a des fautes d'orthographe
Ps2: Si cette histoire vous à faît peur j'en connaît d'autre ! /static/images/forum/smilies/ham-10.gif

Ca fait peur et j'adore! C'est le genre d'histoire qu'on peut raconter à des soirées pyjama entre ami(e)s je trouve ! Et c'est typiquement ce genre d'histoire que je recherche !/library/php/forum/views/smilies/smile.png

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